Contre-Regards

par Michel SANTO

En conflit avec Didier Mouly, sa 3ème adjointe démissionne !

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Cela faisait plusieurs jours que la rumeur  se faisait insistante : la troisième adjointe du maire de Narbonne, Nathalie Granier-Clavet, déléguée  « à l’urbanisme, aux services techniques, à l’environnement, au développement durable, aux espaces verts, à la voirie, à la salubrité, l’hygiène et la voie publique, la circulation et au stationnement » Ouf ! avait démissionné ! Depuis hier, la rumeur est confirmée : le maire Didier Mouly a reçu une copie de sa lettre de démission.

Manuel Valls ! Mais quel rassemblement et autour de quelle ligne politique ?

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Manuel Valls à Evry le 5 décembre 2016. Bertrand GUAY / AFP

 
 

Manuel Valls va-t-il adopter dans la primaire du Parti socialiste la posture et le langage qu’il tient depuis toujours affirmant  qu’existe au sein du PS deux gauches irréconciliables : celle incarnée par Hollande et lui-même, une gauche de gouvernement  qui accepte les contraintes du marché,  et celle représentée par Montebourg et Hamon, notamment, une gauche qui les refuse et cultive la mauvaise conscience d’exercer le pouvoir.

Dans l’Express : Occitanie ! Carole Delga est-elle à la hauteur ?

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Excellent dossier réalisé par Manuel Cudel et Jean-Luc Ferré dans le dernier numéro de l’Express, daté du 30 novembre.   On ne présente plus ici Manuel Cudel, qui fut le patron de la rédaction narbonnaise du Midi Libre et à qui on doit, après avoir succédé à Jacques Molénat dans l’Express, de précédents dossiers sur des personnalités régionales de premier plan. Je pense notamment à celui, épatant, qu’il avait consacré « aux secrets de l’empire Nicollin. Cette semaine, c’est  la jeune présidente de la Région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée  qui fait l’objet de tous ses soins. Avec une question en titre : « Carole Delga est-elle à la hauteur  ».

La primaire de tous les dangers pour Valls et le PS !

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Acculé dans les cordes par « l’opinion » en général, la gauche Montagnarde et une large majorité du Marais de son propre parti et deux offres politiques concurrentes : Mélenchon à la gauche de la gauche et Macron à la droite du PS, ne restait plus à Manuel Valls, après un lent mais obstiné travail de sape, qu’à faire les derniers « gestes politiques » pour faire « sauter » François Hollande et le condamner à expédier les affaires courantes de la France pendant ces 6 derniers mois.

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