Vu dans la boîte à image hier soir Montebourg. Rien n’y fait : il sonne faux. L’arrogance lui colle aux lèvres. Il plaide en se payant la gueule de son client. Le problème est son oeil gauche : on y voit ses « trucs ». Il se la pète, dirait Blanchard.
Hamon lui colle aux basques, le béret en moins. Il a des airs de pasteur luthérien. Mâchoires exagérées, large front, poil ras. Noir de la tête aux pieds. Quand il sourit, on dirait qu’il grimace. Il en devient plus sympathique.
Valls qui rit, se crispe. Toujours à tourner sur lui-même. À chercher son axe ; s’enivrer, se perdre dans ses images. L’oeil toujours fixé sur Montebourg, il lui montre son derrière.
Peillon a le toupet rebelle. Il est philosophe ! Ses cheveux en broussaille coiffent des lunettes en écaille. Il parle haut, le cou à l’horizontale, débite des clichés et enfile des perles : « l’homme de droite n’accorde pas le droit de vote aux noirs ». Son horreur du bourgeois est bourgeoise. Comme celle d’Hidalgo, qui l’aime, si « Madame » !
Pinel, radicale et ronde est dans la marge d’erreur et tend vers zéro. Ou l’infini, qui est la même chose. À l’envers !
La chronique complète d’Arnaud Leparmentier parue dans le Monde (La Matinale édition « abonnés ») de ce jour. Impeccable ! Rien à ajouter, ni à retrancher…
Les travaux du futur musée régional de Narbonne antique, le MuRéNa, avancent au rythme initialement prévu par son maître d’ouvrage, la Région. Restent toutefois d’importants problèmes en suspens qui, s’ils devaient le rester trop longtemps encore, affecteraient négativement l’économie générale de ce projet. Pour ceux concernant directement le futur musée, le plus important demeure la réalisation et le financement de son parvis.
Stupéfaction à la lecture de l’édito de Jean-Michel Servant paru dans le Midi Libre du 7 janvier. Un tract ! Certes pas dans le style « langue d’acier » d’un premier secrétaire fédéral du PS, mais un prospectus tout de même à la gloire de monsieur Hamon.
Le soleil tape sur le granit de la Madrague. Ce muret n’est pas une clôture, c’est un barrage. Il sépare l’eau du jardin, le bruit de la mer, le siècle des touristes du silence des […]
Le sapin est bleu, le givre est froid. Mais au sommet, dans les ailes d’un papillon, brille une étoile rouge. Elle est l’étincelle de la bienveillance. C’est elle qui réchauffe l’image et […]
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]