Dans mon billet précédent, j’ai voulu traiter cette affaire, tant elle est emblématique – et caricaturale – de certaines pratiques locales, sur un mode ironique, sans rien cacher cependant des responsabilités en cause. En effet, et très curieusement, dans l’article de la Dépêche référencé précédemment, le responsable du pôle culturel de la Ville, Monsieur Dupont, est souvent cité et présenté, de fait, comme l’homme clef de cette étonnante situation, et son seul coupable.
Samedi midi, un ami bien informé des affaires carcassonnaises me signalait que la femme du préfet de l’Aude venait d’être recrutée par la Ville de Carcassonne, à son pôle culturel. Dans l’impossibilité de vérifier cette info, j’ai préféré attendre un peu. Bien m’en prit car c’était d’une démission, « pour raisons personnelles » de cette dame dont il s’agissait, pas d’une embauche. Démission effective depuissamedi matin, précise la Dépêche de ce jour.
Hier, dans « C dans l’air », le député socialiste René Dosière, invité à donner son point de vue sur le métier de Pénélope et son exercice réel, a tenu des propos, comme à son habitude, sensés.
Evelyne Cervera et Cécile Lopez , au Café de la Poste, Narbonne les 22,23 et 24 février
Vincent Peillon s’est pris une « belle pelle » dans l’Aude. Et, avec lui, Andrieu et Bascou. 6,11%, pour Vincent ! Juste devant S.Pinel à 3,6%, c’est dire. Humiliant pour nos deux éléphanteaux audois, tout de même. Qui ne sont pas des seconds couteaux dans ce département, faut-il le rappeler.
Comme toujours, mais cela n’est pas propre à ce gouvernement, les chiffres présentés et commentés par la ministre du Travail et, fait exceptionnel, on peut le comprendre, par le Président de la République lui-même, le sont de façon positive.