Hier, Jacques Bascou donnait une conférence de presse entouré de représentants de communes , dont celle, c’était une dame, de la Ville de Narbonne . Son objet ? La présentation de deux des dispositifs relevant de la compétence du Grand Narbonne afin d’oeuvrer à la rénovation et la réhabilitation des centres urbains – le détail dans l’article joint. Principalement concerné, le quartier de Bourg dans le secteur sauvegardé de Narbonne.
Bien, le gouvernement a tranché, et il portera devant l’Assemblée la fusion du Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées. Première défaite de Bourquin, et ce n’est pas la dernière. Au final, ayant perdu tout crédit politique dans cette affaire, ses perspectives dans la future grande région sont quasiment nulles.
Ce soir , le conseil municipal promet . À l’ordre du jour, notamment, un texte qui ressemble à un arrêté anti-mendicité . Les jeunes socialistes s’insurgent et leurs aînés, alors aux commandes de la Ville sous la houlette de Jacques Bascou, ne sont pas loin de crier au plagiat.
Deuxième sortie diurne de nos » zombies boys » narbonnais! Et grande bouffée de délire politique rapportée par un nouvelliste de » ‘Indép ». « L’ agglo ça ne sert à rien », « on est chez nous », « il n’y a aucun intérêt commun » – et j’en passe, soyons poli: pas de qualificatifs! – pleurent de concert Malquier et Mouly .
Jamais une page de « Une » – et ses titres – n’aura été aussi bien accordée à son principal objet . Le conseil communautaire du Grand Narbonne s’est en effet réuni hier sans les délégués de Narbonne. Ils « conférençaient » devant la presse locale en seule compagnie des maires de Fleury et de Roquefort, et de ceux – imprévisibles et incontrôlables – d’Ouveillan et Mailhac… Une photo intéressante où apparaît celui qui semble être le vrai patron de la Ville de Narbonne : Bernard Malquier, le premier adjoint de Didier Mouly.