En haut, à droite, Alain Vogel. En bas, à gauche, Patrick Vignal et Alain Perea. En bas, à droite, Didier Mouly, Patrick Vignal, Robert Ménard
Sourire ce matin en lisant (article annoncé en première page et en bandeau !) dans mon journal local (le seul !) que Jacques Bascou ne serait plus candidat à rien et qu’il se concentrait désormais exclusivement sur les deux prochaines années le séparant de la fin de son mandat de président du Grand Narbonne. Sourire amusé car les lecteurs de ce blog en sont informés depuis le 11 janvier (cliquer sur le billet : On ne tire pas que les Rois chez les socialistes narbonnais…) ; comme ils le sont aussi (dans ce même billet) des ambitions et des petites manoeuvres de ceux qui depuis se positionnent pour lui succéder (à la mairie et à l’Agglo).
Ce matin – samedi –, en prenant mon café dans Les Halles, j’ai croqué cette scène, paisible et baignée d’une douce lumière.
Vous pouvez agrandir l’image en cliquant dessus. Tous les croquis et caricatures de Denis sont disponibles en cliquant sur: Denis Carrière, en rouge, en haut et à gauche.
Denis Carrière est un peintre du voyage, un dessinateur de l’instant. Chantre de la figuration libre, sa palette aux tons sobres et sourds est d’une puissante intensité; et de ses toiles émane une étrange et profonde impression de force et de silence. Son énergie, il la concentre dans sa quête de ce qui fait la « vérité » d’un lieu, d’un paysage, d’une situation. Il sait, comme nul autre, « croquer » sur le vif des scènes, des moments de la vie qui font celle de notre quotidien. Ici ou ailleurs…
Croquis de Denis Carrière. Les Halles de Narbonne…
J’espérais, après que Denis Carrière, artiste-peintre de son état, ait été prié, par deux agents municipaux zélés, de sortir des Halles de Narbonne, avec son carnet et ses feutres, au motif qu’il n’avait pas demandé l’autorisation d’y croquer, comme à son habitude, deux ou trois scènes de sa « vie », qui lui prennent tout au plus 10 minutes, que Didier Mouly se fendrait d’un communiqué, sinon d’excuses, en tout cas empreint de bienveillance envers l’intéressé et d’étonnement devant la réaction malvenue et disproportionnée de ses services (1).
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Je croyais que la culture était un bien commun. Une respiration. Je découvre qu’elle est surtout un territoire. À défendre. À verrouiller. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]