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La guerre contre l’islamisme radical est aussi une guerre des mots.

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Ne nous voilons plus la face! La guerre contre l’islamisme radical est aussi une guerre des mots. Et le combat que nous devons mener est un combat sur plusieurs fronts à la fois. Un combat contre l’islamo-fascisme, car il est nécessaire de clairement désigner « l’ennemi » commun à tous les français dans cette guerre déclarée à la République. Un islamo-fascisme, qui est une idéologie politique, une religion séculière, j’insiste, et non la religion des musulmans. Ses centres de commandement et opérationnels sont en pays « musulmans », qui tue et barbarise les musulmans d’abord, en masse, pour y imposer des structures de pouvoir totalitaires et attentatoires aux droits de l’homme les plus élémentaires. Une barbarie qui puise et recrute aussi dans une jeunesse française, principalement issue de l’immigration, déclassée tant au plan social, moral que politique, pour mener sa guerre contre  « l’Occident » démocratique et ses valeurs. Mais nous devons aussi être de la plus grande fermeté, sur cet autre front de l’islamophobie  à caractère raciste qui, dans les circonstances dramatiques présentes, n’hésite plus à montrer son visage haineux.

Cécile Duflot surfe sur la violence verte et violente Manuel Valls .

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Dans une interview au « Monde », Madame Duflot explique que le style et les discours «autoritaires» de Manuel Valls ont «dégradé la situation» à Sivens. Autrement dit, le premier ministre serait le premier responsable de la mort d’un jeune manifestant survenue lors d’affrontement avec les forces de gendarmerie sur le site où devait être érigé un barrage auquel s’opposent des Verts aux méthodes violentes.

Cambadélis serait-il le tuteur du Gouvernement et de ses ministres?

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Réformer l’Assurance-chômage en France ? « Il ne doit pas y avoir de tabou ni de posture » sur le sujet, estime le ministre de l’économie, Emmanuel Macron, dans une interview au Journal du dimanche. Une déclaration qui n’a pas plu au premier secrétaire du Parti socialiste (PS), Jean-Christophe Cambadélis, qui a pris le contrepied du ministre dimanche. « La gauche n’a pas de tabous, mais elle a quelques totems, en particulier le fait que quand le président de la République s’exprime, les ministres appliquent », a déclaré le député à son arrivée du conseil national du PS à Paris. Est-ce une fin de non-recevoir à ce chantier ? «Absolument», a tranché M. Cambadélis. Peu importe l’objet de cette passe d’armes entre un ministre et le secrétaire général d’un parti. Les français savent désormais que le gouvernement de la France est sous la tutelle du PS et de Monsieur Cambadélis. Du moins l’affirme-t-il. Nous voilà revenu au temps de la quatrième République quand le plus grand désordre régnait. Ne manquait plus que ce genre de « bêtise » pour en rajouter. Le plus curieux est que personne, dans les milieux autorisés, ne s’en offusque. Comme si violer l’esprit même de nos institutions, pour le parti du Président et de son premier ministre,  allait de soi , était d’une grande banalité. J’attends avec impatience et curiosité la réaction de Manuel Valls

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