Je ne me lasse pas de cette nouvelle: « Le téléphérique », écrite par Sylvain Tesson. Elle figure dans son recueil: « S’abandonner à vivre », publié aux Éditions Gallimard, en 2014. Un vrai conte de Noël… Extrait:
Pour son premier Noël, Didier Mouly, notre maire, n’avait offert « qu’une friandise » à nos anciens. Une prime aux veuves et aux veufs, en quelque sorte, puisqu’une seule boîte de chocolats fut, pingrement, distribuée aux « ménages » âgés du petit peuple narbonnais avant les fêtes de fin d’année. Et ce au nom des « nécessaires économies à faire dans les dépenses de fonctionnement ». Tout juste si la responsabilité du Président de la République n’avait pas été invoquée, voire celle de la Commission Européenne et de madame Merkel réunies…
Ce soir, nous fêterons, L’Épiphanie et partagerons la galette des Rois. Elle a lieu effectivement le 6 janvier, mais dans les pays, comme le notre, où l’Épiphanie n’est pas un jour férié, elle peut se fêter également le premier dimanche qui suit le 1er janvier. Ce jour-là est traditionnellement partagé un gâteau contenant une fève qui rend «roi» quiconque la trouve dans sa part de galette. Par sa forme ronde et sa couleur dorée, la galette symbolise le soleil. À l’origine, en effet, L’Épiphanie fait partie du cycle de Noël et tire son fond et son sens des célébrations païennes de la Lumière. Noël, avant d’être un jour, est d’abord un cycle qui atteint son apogée au jour marquant le solstice d’hiver, le 22 décembre.
940 voitures ont été incendiées au cours de la nuit de la Saint-Sylvestre, un nombre en recul de 12 % par rapport à 2013, selon le bilan du ministère de l’Intérieur transmis jeudi 1er janvier. Une tradition désormais bien établie, comme la bûche à Noël, en général, elle, plutôt glacée. Un rituel sauvage où des voitures sont brûlées sur l’autel festif de l’abondance et de la démesure par de « jeunes » gens vivant à la périphérie de nos villes. Au frais, si je puis dire, de leurs propriétaires et voisins habitants dans les mêmes quartiers.
Grosse campagne de « com » présidentielle: le Noël de François n’était pas au balcon de l’Élysée mais au tison de Saint Pierre et Miquelon, cet archipel où l’on pêche encore la morue tandis qu’en métropole on tond toujours les moutons…
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]