Hier matin, j’ai passé un petit moment, place du Forum, au milieu de jeunes filles et de jeunes garçons du Lycée Beauséjour. Ils l’animaient gaiement, avec leurs enseignants, sur le thème de la biodiversité et la protection de l’environnement.
Il y avait foule hier soir dans le centre ville de Narbonne. Et du bruit aussi! Le mécanique, et de ferraille, des manèges, auquel se mêlait celui d’une fanfare ambulante sur un fond de paroles et de cris indistincts. Une houle sonore envahissant places et rues devenues soudain trop étroites pour en contenir le flux. L’idée folle m’est pourtant venue que nous étions en « état de guerre et d’urgence », que « la guerre civile » risquait d’advenir, selon les propres mots de Manuel Valls, qu’il y a un mois, jour pour jour, au moment où j’écris ces lignes, mourraient sous les balles de fanatiques 130 innocentes personnes, que la planète était en survie, que la COP21 se terminait par un « accord historique » et que ce soir de ce dimanche nous saurions si le « fascisme » était passé ou pas en NPCP ou PACA. Je me disais donc cela après que j’eus constaté moi même que tout me portait à cependant l’oublier. Et puis, cheminant par les boulevards extérieurs pour rejoindre la place du Forum, la surprise et la joie de me retrouver au milieu d’étals d’artistes de la galerie collectiveBlend’Art.
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