Pour les débuts de Port-Leucate, Jacques Séguéla, qui commençait sa carrière dans la publicité, a conçu sa campagne de promotion imaginée en 1968 avec ce slogan : « Port-Leucate, le pays de la liberté », au-dessous duquel on peut voir un garçon et une fille nus se tenir par la main devant la mer, suivant du regard leur cerf-volant laissé à sa liberté dans un ciel parfaitement bleu.
Je passe en revue le flux de l’actualité politique française sur mes comptes Facebook et Twitter, et mes favoris de la presse nationale et régionale. Autant l’avouer tout de suite : je ne m’arrête sur aucun des « posts », articles et analyses qui y sont consacrés. Je zappe aussi les «grandes émissions politiques» , à la télé ou à la radio. Inutile de préciser que je n’ai pas lu et ne lirai pas non plus les 1000 pages du programme de Bruno Le Maire ou les « livres » de Fillon, Juppé et Sarkozy, comme ceux à venir des autres candidats de gauche, de droiteou du centre, présentant leur « projet pour la France ».
Bordeaux mayor and founder of the right-wing UMP party, Alain Juppe speaks during a press conference at the Communaute Urbaine de Bordeaux (CUB), on November 22, 2012. AFP PHOTO/ NICOLAS TUCAT
De Philippe Torreton, dans l’Humanité, qui somme les électeurs de gauche d’aller voter aux primaires de la droite et du centre pour Alain Juppé, à madame Elise Lucet, dans Cash Investigation, qui réouvre le dossier Bygmalion, en passant par Buisson, dont le bouquin-brûlot est commenté dans et par tous les médias – qui jadis pourtant lui faisaient un procès continu en extrémiste de l’ultra-droite « fascisante » ! – , en passant par Plenel, qui publie le « carnet » d’un khadafyste inconnu, rempli de virements financiers en faveur de l’ancien Président et de sa campagne de 2007…
Eh bien, j’entre moi aussi dans l’arène, puisqu’on ne peut échapper à cette polémique virale autour et sur la petite phrase lancée par Nicolas Sarkozy, lors d’une réunion publique à Franconville : «Dès que l’on devient français, nos ancêtres sont gaulois ». Un déferlement de critiques que j’avoue ne pas comprendre, tant elles ne reposent sur rien de sérieux, sinon sur la seule certitude que l’ancien Président serait un histrion, inculte et grossier; qu’il flatterait les plus bas instincts – entendait racistes – d’un peuple en perte de repères symboliques.
Pour une sortie, c’est plutôt une rentrée politique et médiatique réussie pour Emmanuel Macron ! Pas un média qui ne parle et ne commente sa démission du gouvernement. Dans un concert quasi unanime de critiques d’une violence inouïe. Du jamais vu ni entendu sous la « Cinquième » : traître, pour tous les tartuffes qui, à gauche, font des procès en traîtrise à François Hollande ; escroc, pour des philosophes « engagés » qui longtemps furent les propagandistes zélés d’un communisme à la mode « Mao » ;
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Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]
Je croyais que la culture était un bien commun. Une respiration. Je découvre qu’elle est surtout un territoire. À défendre. À verrouiller. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]