Robert Hue, n’a pas coupé sa barbe !
Ces derniers jours furent ses derniers jours de gloire: tous les médias nous l’ont présenté comme entrant dans le nouveau gouvernement Valls.
Ces derniers jours furent ses derniers jours de gloire: tous les médias nous l’ont présenté comme entrant dans le nouveau gouvernement Valls.
Je ne vais pas revenir sur le fond de mon billet d’hier consacré à la « Trahison de Montebourg », Mario Draghi vient de le confirmer : « La flexibilité existante des règles budgétaires pourrait être utilisée pour mieux combattre la faiblesse de la reprise et supporter le coût des réformes structurelles nécessaires », a-t-il lancé.
Lors d’un séminaire, le 1er août, Manuel Valls a prévenu des français occupés à « se la couler douce » , que la rentrée serait raide.
En acceptant d’être son premier ministre, Manuel Valls , ne peut plus, comme Sarkozy le faisait avec Jacques Chirac, peaufiner sa stature de candidat à la prochaine présidentielle en critiquant le fond et la forme de la politique menée par Hollande. C’est aussi la sienne, en effet !
Bien, le gouvernement a tranché, et il portera devant l’Assemblée la fusion du Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées. Première défaite de Bourquin, et ce n’est pas la dernière. Au final, ayant perdu tout crédit politique dans cette affaire, ses perspectives dans la future grande région sont quasiment nulles.