Narbonne : Municipales2020 ! À quoi peut-on s’attendre dimanche prochain ?

       

Je ne vais pas revenir sur ce que j’ai déjà dit des programmes présentés par les candidats restés en piste pour ce second tour des municipales. On y trouve de tout, du sérieux et des propositions démagogiques au possible dont je me demande toujours si elles témoignent d’une inculture administrative profonde, d’une immaturité politique circonstancielle ou tout simplement d’un classique cynisme électoral.

Occitarien, bon à rien

Quand même, qu’est ce que c’est c.. la com ! C.. et cher à la fois ! Et toute cette bêtise,  et  tout ce ridicule pour ce grotesque néologisme et cette arrogante injonction  : « devenez occitarien ».  Nous avions dans ce registre folklorique à deux balles :  « Parisien tête de chien » ! Par madame Delga, ils auront en retour  : « Occitarien, bon à rien ». C’est ainsi que Carole est grande !

L’Homme n’est plus qu’un rouage de la machinerie communicationnelle…

 

Daniel Maja : La vie brève.

   

 

Mercredi.

L’homme image

Provocation et victimisation sont désormais les deux mamelles d’une France devenue spectacle permanent ; et l’Homme « libre et autonome », au sens où le définissaient les « Modernes », n’est plus que le simple rouage de la machinerie communicationnelle : image lui-même s’auto célébrant dans le flux continu de leur production quotidienne.

Mardi.

Égoïsme social.

J’ai coupé sons et images et m’en suis allé tailler ma haie, arracher les mauvaises herbes, bichonner les fleurs ayant résisté à un hiver pluvieux, pour enfin finir par nettoyer au karcher les extérieurs de ma « cabane au bord de l’eau ». J’ai ensuite rejoint la plage – à pied – , me suis assis sur le sable, ai regardé l’inlassable mouvement des vagues – comme la vie, toujours recommencée. Le ciel était bleu et le silence parfait…

La vie ordinaire de Lucien, cheminot, qui prenait le TGV du dimanche pour aller manger une choucroute à la gare de Lyon…

   

La première fois que je l’ai rencontré, il y a bien longtemps, je devais avoir une vingtaine d’années, c’était en compagnie de Simone, et c’était à Épinay sur Seine – ville dans laquelle, alors, nous habitions. Je me souviens aussi très précisément en quelle circonstance. Ce devait être un samedi matin, et il était assis, seul devant un verre de vin, à la terrasse du café-PMU de la Cité d’Orgemont.

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