Une nuit à coucher dehors | Le blog d’un odieux connard

La Nuit Debout s’étend.

Véritable révolution populaire et démocratique pour les uns, rassemblement de punks à chiens et de joueurs de djembé en mal de 8-6 pour les autres, l’événement fait parler de lui un peu partout, et prolifère chaque semaine un peu plus. Que l’on soit d’accord ou non avec les idées et méthodes de la foule, n’en reste pas moins cette grande question : la Nuit Debout en son état actuel peut-elle changer l’humble royaume de France, voire au passage, le monde ?

Les « grasses » feuilles de Jean Louis Debré !

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Je croyais Jean Louis Debré président du Conseil Constitutionnel, il n’en était que le concierge. Je le pensais gardien de notre Constitution, il faisait les poubelles de la Vème. Je le savais auteur de polars, il voudrait faire l’acteur. Son prédécesseur collectionnait des godasses, il expose des « dessous ».

Chronique de la région LRMP. Madame Carole Delga aurait-elle des « visions » quantiques de l’histoire?!

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Madame Carole Delga a l’art de semer sur son passage dans les journaux régionaux – qui n’en font qu’un, faut-il le rappeler – des petites phrases involontairement hilarantes. J’en veux pour preuve celle lancée récemment dans une salle « Atmosphère » (oui! vous avez bien lu…) de Capdenac-Gare, gros noeud ferroviaire du LRMP, comme tout le monde le sait: «Nous voulons mettre le transport collectif au centre des citoyens».

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. Du vin, et des moulins de la Mancha…

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Philippe Vergnes, le président de la Chambre d’Agriculture de l’Aude, a décidé de « prendre le taureau par les cornes ». Ce sont ses termes. Appropriés, en l’espèce. Et de se rendre prochainement, nous annonce-t-il, dans un « campo » de la région de la Mancha pour l’affronter. L’animal : la filière viticole espagnole. Elle serait « manso » et pratiquerait un toreo d’esquive préjudiciable aux intérêts des viticulteurs du cru. Pour le sortir de sa « querencia » et le toréer à sa main, notre « quijote » audois lui tend la « muleta » d’une hausse des prix coordonnée profitable à tous. Une entente, quoi! Avec le risque de recevoir trois magistrales « piques » de l’Autorité de la Concurrence, et rentrer, tête basse, au toril. Qui ne l’avait averti de « bien prendre garde? », et « que c’étaient des moulins à vent et que, pour s’y tromper, il fallait en avoir d’autres dans la tête? » (Cervantès)…