Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. France-Allemagne: vu des « Vieilles Nouvelles » et du « Café de la Paix », à Gruissan.

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Hier soir, j’ai regardé le match France-Allemagne en tournant le dos au grand écran du café de « la Paix », à Gruissan village, où j’ai mes habitudes. Je prenais l’apéro, assis à sa terrasse, quasi déserte, face au nouveau resto « Les Vieilles Nouvelles », qui alimente en « tapas » ses clients.

Chronique de Narbonne. Le parvis d’un Théâtre Scène Nationale en friche: et une entrée de ville indigne…

   
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Comment cela peut-il exister qui ne suscite la colère de personne? Comment peut-on encore tolérer ce lâche abandon, par nos édiles, du parvis du Théâtre Scène Nationale aux herbes folles et à la lente mais inexorable auto destruction? Par quelle aberration de l’esprit est-il permis de présenter toujours aux yeux de tous et des non-résidents en visite une entrée de ville digne d’une bourgade du tiers monde? Comment justifier une vitrine culturelle aussi désolante et prévoir à ses côtés une salle multimodale à 20 millions d’euros et un musée de la romanité,  signé Norman Foster? Et comment peut-on  faire preuve, à ce point, d’irresponsabilité sans que l’âme même de notre cité ne se sente blessée?

Chronique Narbo-Martienne. L’univers si t’es nomade…

BIO GZ PHOTO Gerard Zuchetto par C--line Deschamps

Gérard Zuchetto par C–line Deschamps


Soyons honnêtes, à Narbonne les amateurs de culture sont plus gâtés que ceux de rugby. Certes ici comme là, il y eut des défaites et revers cuisants, des fautes d’arbitrage ou des matchs mal engagés. Mais ici la saison n’est pas finie, et à peine Sportfolio replié, la nouvelle expo à l’Aspirateur installée, qu’une nouvelle proposition –courte mais copieuse, est faite au public.

Pourquoi vous me photographiez, la vie est si dure?

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« Échappées Belles », samedi 18 juin à 20h40 sur France 5. Au Vietnam! Une suite de clichés sur le « pays du sourire ». Jérôme Pirotin, accompagné de Réhahn Croquevielle, photographe, ne nous a présenté qu’une succession d’images de villageois souriants, le visage masqué par leurs mains en signe de pudeur et de timidité.

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