La politesse – et la courtoisie – serait-elle devenue un défaut, la manifestation d’un art de vivre du passé ?

   

     

La politesse – et la courtoisie – serait-elle devenue un défaut, la manifestation d’un art de vivre du passé ; l’expression d’une hypocrisie sociale contraire aux vertus de transparence et de sincérité comme le prônent certains de nos esprits libres et modernes ? Ceux-là même qui se donnent en spectacle sur les plateaux de télévision et se répandent, sans filtres, sur les réseaux sociaux ; réseaux où l’insulte et la vulgarité sont trop souvent élevées au rang de valeurs émancipatrices. C’est la réflexion que je me faisais lisant aujourd’hui certains commentaires pourtant signés par d’éminentes personnalités, disons intellectuelles. À ceux là, qui ne me liront sans doute pas, j’offre cette prose raffinée de Bergson. Je l’offre aussi en viatique à ceux qui me liront pour s’en aller affronter la bêtise et la vulgarité que notre temps honore.

Au fond , tout bien pensé – et pesé – , que valent nos grandes perforations intérieures…

L’étoile du soir.

 

Au fond , tout bien pensé – et pesé – , que valent nos grandes perforations intérieures. Qui peut connaître le prix de ces inexprimables impressions, sentiments, angoisses qui, sans répit , tous les jours, toutes les nuits, taraudent nos âmes ? L’oubli, l’usage de la raison et la jouissance esthétique nous permettent, certes, d’en ordonner le sens. Mais, finalement, ce qui compte aux yeux des autres, c’est ce qui se voit, s’échange.

Cet homme est un mystère…

 
Rue déserte de Narbonne.
   

Cet homme est un mystère.Tous les matins il traversait le champ de ma fenêtre. Toujours à la même heure, il allait à grands pas ; toujours courbé sous un lourd havresac qui tirait sur ses maigres épaules.

Et si l’on vaccinait contre la démesure et la rage du pouvoir…

   

Le spectacle donné par les chefs de l’opposition politique au gouvernement, alors que le pays traverse une crise sanitaire et économique sans précédent dans l’histoire récente, est tout simplement, je pèse mes mots, affligeant. Affligeant car faire de sa gestion et de ses conséquences, un problème exclusivement franco-français est absurde et politiquement irresponsable.

Articles récents

  • En vérité l’hiver est la saison parfaite…
    Ma 28.1.2925 Ce que j’aime en hiver, c’est l’élan nu des branches Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
    Aucun commentaire
  • Moment de vie dans un supermarché…
    Ve 24.1.2025 Chaque mardi et mercredi, une atmosphère singulière flotte dans les allées de ce magasin à libre-service. Loin de l’agitation habituelle des fins de semaine, elles ne sont empruntées que […]
    Aucun commentaire
  • Je suis toujours là.
    Me 22.1.2025 Cinéma. Dimanche, à 15 heures, ai vu, au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne, le dernier film de Walter Salles : Je suis toujours là. Un grand film qui m’a incité à […]
    Aucun commentaire
  • Ma route du sel…
    Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
    Aucun commentaire
  • Maison à vendre…
    Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
    Un commentaire