Il y a quelques semaines à peine, deux ou trois mois peut-être, je ne m’en souviens plus, un des anciens chroniqueurs de ONPC*, qui eut ses heures de gloire à la télé, Aymeric Caron, nous expliquait doctement que les moustiques étaient des êtres vivants, comme nous, et qu’il ne fallait pas sauvagement les « tuer ».
Samedi, j’ai passé une partie de la soirée aux Halles. On m’y avait donné rendez-vous pour la « Nuit de la moule ». De la moule et des frites. Un plat typique et emblématique de la gastronomie de notre cité, comme tout le monde le sait. Mais sans bière, cependant ; et avec de la charcuterie de Lacaune…
Je lis sur la page d’un « ami » Facebook, qui, tous les jours, exprime sa colère envers la politique menée par l’actuel gouvernement et se fait l’inconditionnel promoteur des « Dits et écrits » de monsieur Mélenchon, cette citation de Charles Bukowski : « Le problème avec le monde, c’est que les gens intelligents sont pleins de doutes tandis que les plus stupides sont pleins de confiance ».
Si la mégalomanie s’exprime, dans les cas les plus aigus, par une surestimation de soi qui amène les personnes atteintes de ce travers caractériel à s’attribuer des actions prestigieuses, des dons exceptionnels, dans ses aspects les plus doux, si je puis dire, elle peut néanmoins, aussi, soutenir ou augmenter l’estime de soi de certaines personnes.
Madame Foresti vomit Polanski, mais ne crache pas sur 130 000€ pour, aux César, bassement le « tuer » : « Atchoum , Roman ! Petit, veule, violeur, blanc et riche ! » Vil et facile. Violence d’artiste.