Réseaux sociaux ! S’y informer, c’est risquer…
Rentrée ! S’informer sur les réseaux sociaux, c’est comme marcher sur les trottoirs de nos villes : on y risque à chaque instant de glisser sur une merde de chien…
Rentrée ! S’informer sur les réseaux sociaux, c’est comme marcher sur les trottoirs de nos villes : on y risque à chaque instant de glisser sur une merde de chien…
8h30 ! Un café, quelques troubles pensées, et soudainement l’envie me prend d’aller voir la mer. C’est l’heure où elle m’appartient. Mes voisins dorment encore. Ils rêvent d’un temps sans horloges ; d’un présent qui s’éterniserait. J’aime seul regarder les vagues, écouter leur bruit qui semble provenir du fond de la terre. Tumultueuses ou frémissantes, peu m’importe, elles m’apaisent, me guérissent. Ainsi va la mer de siècle en siècle, tandis que sur ses côtes se fait l’histoire des hommes. Une histoire qui demain sera vite oubliée, quand les vagues et la mer n’en finissent jamais de toujours recommencer…
Dans ma petite et modeste cité, qui jadis fut pourtant grande et glorieuse, j’apprends, en tombant par hasard sur la feuille locale, que trois jeunes pousses élégantes, énergiques et parfaitement vertes, invitaient ses habitants à mener une expérience de « science participative » ; et ce afin de circonscrire les « îlots de chaleur », pour, ensuite, les couvrir de rideaux de verdure plutôt que d’offrir leurs murs au vorace appétit des marchands de climatiseurs.
De temps en temps, je fais une petite virée dans les pages de Libé et Télérama – « les Inrocks » est au dessus de mes forces. Une façon de rester au contact de la nullité morale et politique dont peuvent être capables certains de leurs journalistes.