Quel étrange chantier tout de même que cette réfection des trottoirs devant l’école de Bourg, surtout. Il y a quelques jours, y passant devant, je me réjouissais, admirant la belle courbe dessinée par la bordure en pierre les délimitant, du généreux espace ainsi offert aux piétons et parents d’élèves nombreux en cet endroit à attendre leur sortie de classe.
Midi Libre Dimanche. Un article dans la série « Un patrimoine, une histoire ». Et une première phrase enlevée qui commence sur un air et un rythme à la Charles Trenet. La deuxième, dans la foulée, nous proposant une magnifique, et inattendue, érection de la voie Domitienne. Je ne sais si le rédacteur de cet article s’est oublié, mais son entame m’a réjoui pour le reste de la journée. Voir ainsi en imagination la portion qui en reste place de l’hôtel de ville se dresser dans sa fosse, comme à la Concorde l’obélisque, ou sur un coq sa crête, est une véritable prouesse poétique. La veille, à la cathédrale Saint-Just Saint-Pasteur, les chrétiens commémoraient la montée au ciel de Marie. Par la grâce du Midi Libre, c’est celle de la Via Domitia qui le fut dimanche…
Petite parodie matinale. Chacun peut augmenter ce texte du poids de son imagination; et l’adresser à son élu, forcément de proximité. « C’est vrai que la matière sociale et politique aujourd’hui est déterminée par deux axes majeurs qui ne manquent pas de nous interpeller quelque part. Je veux dire, effectivement, que l’ouverture à gauche et la fermeture à droite posent le problème d’un positionnement politique pertinent pour une gauche ( ou une droite ) moderne qui resterait ferme sur ses fondamentaux… Cette problématique équation est à l’évidence la question déterminante pour sortir d’un questionnement où le désir d’avenir serait occulté par le désir d’en découdre. Contourner cet incontournable interrogation est donc une nécessité absolue. De sorte que, la courbe du chômage s’obstinant à ne point se redresser, la question existentielle de sa nécessité ne se pose plus. Il est donc clair, qu’en toute transparence, la question de savoir si je suis en capacité, peut-être, de candidater lors de prochaines échéances électorales, n’a pas de sens. Etc, etc… »
C’est l’été! Plus précisément les vacances d’été. Les magazines et les journaux s’allègent: plus de pub! Les « congés payés » s’engraissent: trop de siestes. Sous les parasols, mots fléchés, jeux et devinettes pour entretenir des méninges rêveuses. La « rentrée » est encore loin… Voici la mienne, d’énigme! Ludique et…philosophique. Les gagnants auront-droit… à rien! Rien d’autre qu’un prix de lucidité – virtuellement amical.
C’était dans l’air depuis plusieurs mois, c’est désormais une certitude : le premier marché aux truffes de Narbonne aura lieu sur la place de l’Hôtel-de-ville le samedi 14 février. Une consécration pour tous les Tartuffes du lieu! On l’a oublié depuis, mais on disait du temps de Molière, truffer, pour, tromper, dont on avait fait le mot truffe, qui convenait très bien à cette espèce de fruit, par la difficulté qu’on a à le découvrir.
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]