Chronique de Narbonne : il faudra bien un jour ranger les lames !
Bertrand Malquier doit éprouver un sentiment d’injuste partialité dans la manière dont je rapporte et commente certaines de ses positions publiques . Je dois dire que jusqu’ici il ne m’en tient aucunement rigueur et qu’il se montre toujours d’une belle et constante courtoisie quand il nous arrive de nous croiser sur les Barques de Cité – que son « patron » trouve toujours aussi catastrophiques au point de les mettre, en août, paradoxalement, en « scène » …