Dans les rues de Narbonne, une fin d’après-midi de dimanche, fin novembre…

   
   

Dimanche, 16h. Vent froid et violent. Les rues sont désertes, ou presque. Je marche pour marcher. À l’aveugle. Sans but. Pour le plaisir ! Physique : le visage dont la peau s’étire. Psychologique : les idées dont les lignes se tendent.

29 maires et un député pour relancer l’usage des voitures sur les plages !?

       

Ne « tournons pas autour du pot » : cette relance publique par 29 maires du « narbonnais » et le député Alain Perea, qui demandent à l’État de déroger à la loi Littoral pour autoriser la circulation et le stationnement des voitures sur les sites et les plages de la Vieille Nouvelle, du Rouet et des Montilles, est tout simplement ahurissante. Parce que juridiquement absurde d’abord : cela a été déjà dit et rappelé à plusieurs reprises par les différents acteurs publics concernés pour que je m’abstienne ici de faire état des positions et des arguments avancés par les uns et les autres.

Stop à l’impérialisme vélociplédique !

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Mardi 18 heures.
Nous étions sur le même trottoir, large et désert. Il était 18 heures environ. Je marchais d’un bon pas, l’esprit en balade ; elle roulait d’un bon train, ses cheveux au vent. Nous avancions l’un vers l’autre quand j’avisai soudain les mouvements suspects de sa bicyclette.

Du R.C.N, du passé, de son « peuple »… de ses « vestes » !

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Propos chauvins et inutiles.
Un sursaut d’ambition et d’énergie était attendu par le « Présidium » du R.C.N, vendredi soir à Béziers. En contrepartie, ils ont assisté à un humiliant effondrement physique et moral de leur équipe. Et c’est avec 34 points dans la « musette » et une dernière place au classement de la Pro 2, qu’ils sont tous rentrés à la « maison ».

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