Louis Privat, le patron des « Grands Buffets » n’est jamais à court d’idées – il ne fait jamais rien comme personne ! Surtout quand il s’agit de promouvoir l’art contemporain et les artistes qu’il affectionne.Et qu’il fait, à sa manière, dans des lieux ou des conditions originales, comme autant de « performances ». En 2008, déjà, il demandait à Patrick Chappert-Gaujal, de travailler le métal et d’investir les cuisines de son restaurant de l’Espace de Liberté pour y faire entrer de la lumière et de la beauté. Un « geste » artistiquement, techniquement et professionnellement osé. Et parfaitement réussi ! D’autres artistes suivirent et non des moindres, comme le sétois Di Rosa et ses bronzes, autour de ses fontaines… De sorte que son restaurant est devenu aussi, au fil du temps et des ses « coups de coeur », une « galerie » d’un type particulier, sans finalité marchande, dont l’objet estde redonner à l’art sa fonction ornementale ; de le mettre au contact des publics les plus divers.
Le croquis de la semaine de Denis Carrière : « Narbonne, ville (d’art) et d’histoire ! »
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Association du RCNM : site internet signé agence Defacto
Que cherche donc l’ex-président de la SASP du Rcnm, Bernard Archilla, dont la démission a étéacceptée et confirmée, par son Conseil d’Administration, le 24 avril . Mais qui depuis, par ses « courriers » et son comportement, semble toujours en être le dirigeant de fait ;alors même que le « droit à jouer » et la « marque Rcnm » ont été retirés à la SASP par l’Association présidée par J.L Caussinus au 30 juin [1]
Les gros importateurs français de vins étrangers ont été contrôlés par les agents de la Répression des fraudes. Résultat : « Nous avons constaté des fraudes chez quatre négociants-producteurs, explique Alexandre Chevallier, le directeur de cabinet adjoint de la DGCCRF. » Et les cas de francisation ne concerneraient que 70 000 hectolitres de vin. Soit l’équivalent de 10 millions de bouteilles de rosé ! Des chiffres, dans l’absolu, énormes, qui font hurler la profession et crier au scandale du siècle dans les médias, mais qui, en réalité, ne représentent qu’une goutte d’eau dans l’océan des rosés produits et consommés en France. De fait, la fraude en question ne pèserait qu’environ 0,001% des 6,4 millions d’hectolitres produits chaque année [1] et 3,37% des bouteilles (320 millions) issues du seul Languedoc… Oui, bon, ce n’est pas rien, certes, mais de là à ameuter la terre entière… J’observe d’ailleurs que la réaction des locaux, souvent pétaradante sur ce sujet, me semble aujourd’hui, disons embarrassée. Serait-ce la chaleur caniculaire qui pèse en ce moment sur les casques où bien cette information (passée sous silence dans la presse du coin) selon laquelle, un négociant, près de Narbonne (des noms ! allez un petit effort…), aurait maquillé à lui seul 30 000 hectolitres de vin en trois ans. L’Aude et la Narbonnaise championnes de France de la fraude au rosé ! En pleine saison estivale où il s’en boit des hectos, ça la fout mal en effet…
[1] La France est le premier producteur mondial de rosé, avec un tiers des volumes. C’est aussi le premier exportateur, avec 32 % des rosés exportés. La France est aussi le premier consommateur, mais elle commence à manquer de vins. Les volumes du millésime 2017 sont en recul, face à une récolte bien plus faible que les autres années.
J’ai toujours trouvé ridicules et grotesques ces petits trains pneumatiques se déplaçant mollement dans les coeurs de villes présentant quelques curiosités historiques ou architecturales. Ridicules parce qu’ils me rappellent ces lieux sans âme de l’industrie des loisirs où les visiteurs se plient volontiers aux aventures et aux déguisements enfantins les plus extravagants ; ridicules et grotesques aussi à voir ainsi ces voiturettes chenillées aux couleurs clownesques emplies de visiteurs fatigués gobant à la volée les commentaires d’un conducteur à l’éloquence d’un voyageur de commerce. Il paraît, me dit-on, que cet anachronisme véhiculaire et esthétique plaît au plus grand nombre – dans une époque comme la nôtre où la télé réalité et le kitsch imposent leurs images, j’en conviens –, mais on me permettra cependant d’en trouver la présence ostentatoire aux abords de grandes oeuvres architecturales du passé, disons d’un très mauvais goût. Et, de surcroît, politiquement, ironiquement provocatrice. Car comment interpréter autrement en effet ces panneaux publicitaires installés sur les toits de ces voiturettes vantant sans vergogne aux yeux du passant et de l’amateur de « terrasses » que je suis, les attraits d’un temple de la mal bouffe et d’une zone commerciale de la périphérie de la ville qui contribue patiemment à la mort lente de son centre… Ma ville est belle, c’est un fait ; il faut en prendre soin. Dans le détail, avec tact et délicatesse ! Son animation et sa mise en valeur ne peuvent être ainsi le prétexte à ce genre d’indigestes fantaisies ; surtout quand elles contribuent sournoisement à en briser le coeur, son image…
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Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]