Ce n’est pas tous les jours que l’on peut voir Didier Mouly et Jacques Bascou, confortablement calés dans deux fauteuils de style moderne, détendus, presque soulagés d’apparaître ainsi complices et apaisés, comme dans cette image d’archives choisie par la rédaction de l’Indépendant pour illustrer l’article de mardi dernier relatif à la « signature » par nos deux élus d’un pacte de bonne entente concernant des abords d’équipement.
Marc Azéma, le réalisateur de la société Passé Simple* et archéologue lui-même, peut-être satisfait : ses Rencontres Archéologiques de la Narbonnaise ont en effet accueilli beaucoup de monde. Le programme de très grande qualité et la notoriété internationale des conférenciers invités, comme Jean Guilaine, Jean Paul Demoule, Jean Claude Golvin, notamment, ne pouvait qu’attirer les professionnels et les curieux de cet ensemble foisonnant d’activités peu ou prou liées à l’archéologie sous toutes ses formes.
C’est un rassemblement inhabituel devant l’entrée de l’Hôtel de Ville, jeudi, qui m’a incité à monter jusqu’à la salle des Synodes où devait se réunir un conseil municipal, vers les 18 heures ; une salle qui fut vite remplie par cette même compacte foule, à l’approche de son ouverture par le maire, Didier Mouly … Et pour y découvrir assez vite que c’étaient des « Papillons » – c’est leur nom de « guerre » – venus là, concentrés, pour demander une réunion publique sur le projet TDN de l’usine de Malvési.
L’humeur du pays est jaune fluo ; la mienne est plutôt noire. Entendre des candidats, lors de la campagne présidentielle, expliquer qu’il faut une taxe carbone et les voir, aujourd’hui, lancer leurs filets – jaunes ! – pour racler les fonds de la détresse sociale et ramener des voix, est insupportable !
Dans la dernière édition de Radio Barques, sur Grand Sud FM, nous recevions, en invité, le maire de Narbonne, Didier Mouly. Pas de surprise au plan politique ! Il a toujours dit qu’il serait candidat à sa réélection lors des prochaines élections municipales. Mais en précisant toutefois, à cette occasion, qu’il ne ferait pas la même erreur – que je lui ai rappelée dans ma chronique précédant son intervention – d’oublier celles, concomitantes, au conseil communautaire du Grand Narbonne.
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