Salut les copains !

Le croquis de la semaine de Denis Carrière : « Salut les copains ! »

 
     
 

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Jean-Pierre LE GOFF : « Le mythe Johnny : entre nostalgie des Trente Glorieuses et sacralisation du rebelle »…

     

Propos recueillis dans « Le Figaro » du jeudi 7 décembre par Vincent Trémolet De Villers. Extraits :

La mort de Johnny Hallyday a déclenché une très forte émotion collective. Comment expliquer une telle popularité ? Est-il devenu une mythologie nationale ?

Jean-Pierre LE GOFF. – Oui, sans nul doute, et il y a plusieurs raisons à cela. Cette mythologie combine une forte nostalgie pour les années de sa folle jeunesse pour une partie de la population mais aussi pour la France d’avant la crise, celle des années 1960 et de la dynamique des Trente Glorieuses, à laquelle s’ajoute l’image du rockeur, perpétuel rebelle, qui est devenu l’un des traits marquants de la culture des sociétés démocratiques. Johnny Hallyday est l’incarnation nationale d’une culture rock qui transcende les âges et les catégories sociales. En ce sens, on pourrait dire qu’il est un facteur d’unité nationale, que l’on apprécie ou non ses interprétations. Il n’en a pas toujours été ainsi. Quand Johnny Hallyday est apparu sur scène à la fin des années 1950 et au début des années 1960, il a suscité critiques et indignation d’une partie de la population, des journalistes et des intellectuels…

La Monumentale de Narbonne : les délires de Noël !

Le croquis de la semaine de Denis Carrière : « La Monumentale de Narbonne : les délires de Noël »

   
 
 

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Notre temps meurt de l’oubli de ces formes symboliques où s’enseignent d’autres apprentissages…

 

Cimetière de Bages d’Aude.

     

Hier, le cimetière de Bages d’abord. Comme sa mère le faisait avant elle, devant le caveau de sa grand-mère, au bas d’une petite plaque sur sa face avant, elle y a déposé un vase de fleurs blanches. En souvenir d’une petite soeur morte : elle avait moins de deux ans ! Simone ne l’a jamais connue évidemment ; mais par ce rituel que sa mère entretînt avec ferveur, c’est à chaque fois cette profonde relation filiale, cet amour jamais éteint, qu’elle revit intensément.

Philippe Jaenada présentait son roman « La Serpe » à Port-Leucate, cet été. Je l’ai lu…

Cette année, Michel Py m’a gentiment adressé (comme il le fait régulièrement à chaque rentrée littéraire) le dernier roman de Philippe Jaenada, « La Serpe »  (éditions Julliard), présenté en avant-première à Port Leucate le 20 août dernier, dans le cadre de la manifestation « Auteurs à la Plage » (1). Un choix judicieux : l’auteur figure en effet dans la sélection du prix Renaudot 2017, après l’avoir été dans celle du Goncourt. Un roman-enquête qui, d’emblée, à la vue de son épaisse taille (600 pages), m’a paru difficile d’accès ; jusqu’à ce que le « ton » de ses premières phrases finisse par me faire oublier très vite cette première (et fort paresseuse) impression.

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