Lundi, peu avant midi, place de l’hôtel de ville. Un petit « groupe de personnalités locales et d’élus » se forme devant le grand portail du Palais des Archevêques. Des membres de la police nationale et municipale se dirigent, et se positionnent, de l’autre côté de la portion de Voie Domitienne ouverte au public. Je les rejoins, et me place face à l’entrée de l’hôtel de ville. Didier Mouly et Jacques Bascou en sortent. Côte à côte, théâtralement.
Vous pouvez agrandir l’image en cliquant dessus. Tous les croquis et caricatures de Denis sont disponibles en cliquant sur: Denis Carrière, en rouge, en haut et à gauche.
Ne pas écrire un mot. «Prier» en silence. Ne pas en rajouter dans l’insupportable «pathos» qui inonde la presse, les réseaux sociaux, leurs « posts » et commentaires. Garder vivanteà l’esprit cette soirée dernière sur la promenade des Barques.
La première fois que je le vis, ce vieux petit bonhomme, appuyé sur sa canne, il prenait un pain que lui tendait Adeline, ma boulangère. Quelques mots familiers furent échangés entre eux, à cette occasion, qui signalaient une longue et amicale fréquentation. Ils suffirent pour que je reconnaisse instantanément une langue et un timbre qui longtemps sonnèrent à mes oreilles. Celle de mon grand père paternel, le dimanche, en famille, ou sur des chantiers, l’été, quand j’y travaillais en sa compagnie, manoeuvre d’occasion – pour financer la rentrée scolaire – sous la direction de mon père, alors contremaître.
Ce matin, entre 11h30 et midi, assis à la terrasse du Petit Moka, j’ai assisté à une déferlante de drapeaux orange et noir sur la place de l’hôtel de ville. Un dimanche, à l’heure de l’apéro! Du jamais vu. Une concurrence déloyale pour des responsables locaux de la CGT, au bord de la syncope. Un évènement à faire tomber dans le doute métaphysique les squelettiques cercles de « nuitsdeboutistes », depuis la dernière lune à jamais disparus.
Ve 24.1.2025 Chaque mardi et mercredi, une atmosphère singulière flotte dans les allées de ce magasin à libre-service. Loin de l’agitation habituelle des fins de semaine, elles ne sont empruntées que […]
Me 22.1.2025 Cinéma. Dimanche, à 15 heures, ai vu, au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne, le dernier film de Walter Salles : Je suis toujours là. Un grand film qui m’a incité à […]