C’est d’abord Codorniou, le vice-président de la Région, qui, ce matin, se fait « souffler dans les bronches » par Courteau, le sénateur de l’Aude, pourtant d’un naturel habituellement courtois. Le premier reprochant au second de n’avoir pas signé le « Pacte de Narbonne » sur l’éolien flottant conclu avec la Présidente de la Région madame Delga – on aime bien dans ma petite ville turbiner l’emphase et le ronflant !
Ce qui frappe, quand on lit ce qui se publie sur les réseaux sociaux et voit les images diffusées en boucle sur les chaînes d’informations en continu, concernant les « Gilets jaunes », est qu’aucune revendication sociale ou fiscale en particulier n’est avancée par les personnes sollicitées – vêtues d’un gilet jaune, pour les plus actives ; ou pas, concernant celles qui les soutiennent. Chaque témoignage, en effet, est surtout celui relatif à une situation personnelle : pensions trop faibles ; impôts et taxes trop lourds ; services publics trop peu nombreux en milieu rural et trop faibles en effectifs ailleurs ; pouvoir d’achat « en berne » etc.
C’est un rassemblement inhabituel devant l’entrée de l’Hôtel de Ville, jeudi, qui m’a incité à monter jusqu’à la salle des Synodes où devait se réunir un conseil municipal, vers les 18 heures ; une salle qui fut vite remplie par cette même compacte foule, à l’approche de son ouverture par le maire, Didier Mouly … Et pour y découvrir assez vite que c’étaient des « Papillons » – c’est leur nom de « guerre » – venus là, concentrés, pour demander une réunion publique sur le projet TDN de l’usine de Malvési.
Dans la dernière édition de Radio Barques, sur Grand Sud FM, nous recevions, en invité, le maire de Narbonne, Didier Mouly. Pas de surprise au plan politique ! Il a toujours dit qu’il serait candidat à sa réélection lors des prochaines élections municipales. Mais en précisant toutefois, à cette occasion, qu’il ne ferait pas la même erreur – que je lui ai rappelée dans ma chronique précédant son intervention – d’oublier celles, concomitantes, au conseil communautaire du Grand Narbonne.
Bernard Lecomte note dans son blog qu’aux Etats-Unis, sur les 3.143 comtés qui composent le territoire, plus de 2.000 n’ont plus de quotidien local, et 200 n’ont plus de journaux du tout ! Ailleurs, les organes de presse qui n’ont pas encore fermé n’ont plus les moyens de couvrir la vie politique ou intellectuelle : toute la pub est partie sur internet !
Place de l'Hôtel de Ville de Narbonne. (Office de Tourisme)
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