Manuel Valls, MyriamElKhomri et Emmanuel Macron, le 22 février dernier/AFP
Pierre Jacquemain est l’ancien conseiller stratégie de la ministre du travail Myriam El Khomri. Il la conseillait déjà quand elle secrétaire d’Etat à la politique de la ville (2014-2015). Il devait notamment se charger de la réforme du code du travail. Mais, considérant que l’ingérence de Matignon et de l’Élysée était trop forte dans la conduite du projet de loi, il a finalement quitté sa fonction lundi 29 février. Hier, « Le Monde » publiait sa tribune; une tribune en forme de tract que pourrait rédiger l’actuel, et les anciens présidents, de l’UNEF. Qui tous ou presque occupent de hautes fonctions au sein du PS.
« Cent mille exemplaires du journal Midi Libre / La Dépêche du Midi – exceptionnellement tirés tête-bêche sur les rotatives du Figaro – seront, distribués ce mardi 1er mars sur quelques 150 points stratégiques (sorties de métro, aéroport d’Orly, gare SNCF, la Défense, etc.) et par 200 colporteurs habillés aux couleurs de nos journaux et de la Région Languedoc-Roussillon – Midi-Pyrénées. Cette édition originale, composée des meilleures pages de l’actualité régionale, fera la part belle aux talents agricoles de cette nouvelle et grande région de près de 6 millions d’habitants. »
Comment dire ma stupéfaction devant l’avalanche de « posts » et commentaires, notamment sur les réseaux sociaux, s’indignant que la société organisatrice du Tour de France ait contracté avec le groupe viticole chilien Cono Sur – comme les montres suisses ou andorranes Tissot ou Festina, ou les voitures tchèques Skoda, entre autres.
Depuis 2015, la cuvée Bicicleta du groupe chilien Cono Sur a été choisie par Amaury Sport Organisation –l’organisateur de la Grande boucle– et ce jusqu’en 2017 comme le vin officiel pour figurer sur les étapes du Tour lorsque celui-ci fait étape à l’étranger –parce que la loi Evin empêche de le faire en France-. Cette année le vin chilien pourra donc faire sa promotion en Suisse, Andorre et en Espagne. Et non sur les routes de France, comme le laisse entendre Frédéric Rouanet, le président du syndicat départemental des vignerons de l’Aude, dans un cinglant communiqué de presse:
Conférence de presse de Jacques Bascou rapportée par Laurent Rouquette dans l’Indépendant de Jeudi 18 Septembre (1). Titre: « Un budget sain pour le Grand Narbonne ». Soit! Mais on apprend dans le texte que ce qui estprésenté comme une maîtrise de la masse salariale est en réalité une absence de contrôle des charges de personnel. Curieuse maîtrise, pour un vrai relâchement! Elles augmenterons en effet de 4% – 1% pour le recrutement, 3% pour des hausses de traitement, mécaniques. Et Jacques Bascou de justifier ainsi cette hausse: « le personnel, ce sont des services au public qui ne peuvent pas être réduits de manière uniquement comptable ». Autrement dit, les services au public étant par nature en croissance constante, pour ne pas dire infinie; et les élus n’ayant pas de comptes publics à rendre à leurs administrés, n’étant pas des comptables, les charges de personnel ne sauraient qu’augmenter. Problème! Les communes membres du Grand Narbonne raisonnent de la même façon et augmentent elles aussi leurs dépenses de personnel, bienque les 3/4 des compétences et des agents qui vont avec aient été transférés à l’Agglo. Cherchez l’erreur!