Tant pis! je me risque à ce billet d’humeur, en sachant tout ce qu’il peut entraîner de réactions aussi stupides que passionnées. Je croyais en effet vivre, jusqu’à ce que je tombe sur ce tweet de notre ministre de l’Intérieur, dans une République laïque. Une République dans laquelle il ne peut revenir à un quelconque groupe de religieux, en l’espèce musulman, à Lens, ou ailleurs, de s’auto-proclamer veilleur, gardien, protecteur, même symboliquement, d’une église et de ses fidèles participant, le 24 décembre, à la messe de minuit. Que je sache, personne ne leur avait demandé d’assurer ce rôle dévolu par la loi aux seules forces de l’ordre, en cas de dangers avérés.
Cette petite histoire, je la gardais pour l’après second tour des régionales. Je ne voulais pas en rajouter, pendant la campagne, sur le thème des copains et des coquins et alimenter ainsi un courant anti-parti déjà bien lourd en affaires de tous genres… L’esprit de responsabilité prenant le dessus, je me suis donc, disons le franchement, auto-censuré. Pour ce qui me connaisse un peu, le fait est rare. Mais c’est ainsi, et n’ai, malgré tout, pas trop de regrets. La nouvelle majorité en place, succédant à la précédente dirigée par la même coalition de gauche, aura peut-être suffisamment de ressources politiques pour critiquer à son tour des pratiques qui conduisent aux résultats malheureusement constatés dans les urnes à l’occasion de ces « régionales ». Ouvrons donc les paris, et commençons par exposer les faits.
Horizon bouché et confusion totale. Un PS schizophrène : vieille gauche dans son coeur militant et social-libéral dans ses têtes dirigeantes; une gauche de la gauche unie dans la défensive; une droite divisée entre partisans d’un « compromis historique » avec le courant Hollande-Valls (Le « front républicain » de NKM, Raffarin et de quelques centristes), ceux de la « ligne forte » à la Sarkozy-Waquiez, et le marais Juppéiste…
Après le sable de Paris-Plage (1) , les arbres de Paris-Sapins. Les berges de Seine accueillent en effet une forêt de sapins, du 5 au 27 décembre 2015. D’une hauteur variant de 2 à 6 mètres de haut, les plus vieux ayant une vingtaine d’années d’âge, ces sapins ont été tronçonnés dans le Morvan et transportés par péniche, pour, selon la Gazette de Paris: « ravir petits et grands pour une balade merveilleuse sur les berges de Seine ! »
Pour son premier Noël, Didier Mouly, notre maire, n’avait offert « qu’une friandise » à nos anciens. Une prime aux veuves et aux veufs, en quelque sorte, puisqu’une seule boîte de chocolats fut, pingrement, distribuée aux « ménages » âgés du petit peuple narbonnais avant les fêtes de fin d’année. Et ce au nom des « nécessaires économies à faire dans les dépenses de fonctionnement ». Tout juste si la responsabilité du Président de la République n’avait pas été invoquée, voire celle de la Commission Européenne et de madame Merkel réunies…
Elle est allée dans sa chambre. Elle est revenue. Elle tenait un disque. Marcel Amont. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]