Je ne sais pas si, comme moi, vous l’avez remarqué, mais les gémissements quotidiens et permanents qui empoisonnent l’esprit public sont moins ceux des personnels de santé, des caissières de supermarchés, ou des conducteurs de bus et de camions, etc… occupés qu’ils sont à sauver des vies ou satisfaire aux besoins vitaux de la société, que ceux sifflés sur tous les tons du yaka-faukon, sur nos ondes, les réseaux sociaux et les plateaux télés par des commentateurs confinés dans leurs toutes récentes « compétences médicales et scientifiques » piochées un peu partout sur la « Toile ».
« Si, sur une scène, la crédibilité du figurant tient au costume dont on l’a revêtu, emblématique de la besogne qu’il remplit dans la pièce, il y aurait bien de l’exagération à prétendre qu’il incarne pour si peu un personnage. Vient-il a bouger ? Il n’en reste pas moins à sa place.
La politesse – et la courtoisie – serait-elle devenue un défaut, la manifestation d’un art de vivre du passé ; l’expression d’une hypocrisie sociale contraire aux vertus de transparence et de sincérité comme le prônent certains de nos esprits libres et modernes ? Ceux-là même qui se donnent en spectacle sur les plateaux de télévision et se répandent, sans filtres, sur les réseaux sociaux ; réseaux où l’insulte et la vulgarité sont trop souvent élevées au rang de valeurs émancipatrices. C’est la réflexion que je me faisais lisant aujourd’hui certains commentaires pourtant signés par d’éminentes personnalités, disons intellectuelles. À ceux là, qui ne me liront sans doute pas, j’offre cette prose raffinée de Bergson. Je l’offre aussi en viatique à ceux qui me liront pour s’en aller affronter la bêtise et la vulgarité que notre temps honore.
Vêtu comme un joggeur, je passe l’aspirateur. Armé de mon « tube » orientable, arrimé à son train sur roulettes, j’avale les miettes des repas de la veille oubliés dans la cuisine ; dévore les « moutons » qui gîtent paisiblement sous mon lit et absorde la poussière couvrant meubles et tapis.
Le sapin est bleu, le givre est froid. Mais au sommet, dans les ailes d’un papillon, brille une étoile rouge. Elle est l’étincelle de la bienveillance. C’est elle qui réchauffe l’image et […]
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]
Lu dans l’Indépendant du jour : « l’Occitanie résiliente entend proposer un nouveau modèle de développement pour assurer la souveraineté économique, énergétique, sanitaire et alimentaire […]