François Hollande poursuit sa « tournée des popotes » dans les supermarchés et les grands magasins culturels. Parfois des librairies. Il y vend et signe ses « mémoires » quinquennales : « les leçons du pouvoir ». Avec succès ! Les Français sont magnanimes : ils aiment leurs rois et leurs présidents. Après les avoir trucidés, cependant. François est donc heureux. On l’achète !
Samedi dernier, nous recevions, Jean-Claude et moi, à Radio Barques, madame Marion Fouilland-Bousquet, la directrice du Théâtre+Cinéma Scène Nationale, du Grand Narbonne. L’occasion de faire le point sur la situation financière et l’état physique de cet équipement, comme sur la programmation de la saison en cours. L’information à retenir de cet entretien est un retour à l’équilibre comptable et la signature de la convention avec l’État et les autres partenaires du Théâtre : Grand Narbonne, Région et Département, principalement.
« Sucette » et Marco, les deux (!?) présidents des « Socios » du RCNM ne font pas dans la guimauve épistolaire. C’est un véritable glaçon en effet qu’ils viennent d’expédier par courriel à leurs adhérents.
Le précédent gouvernement avait prévu la suppression des conseils départementaux mais, pour des raisons bassement politiciennes – ne pas perdre les voix radicales (celles du parti de monsieur Baylet) : qu’il a perdues un peu plus tard et qui, lors de la présidentielle, s’en sont allées chez Macron – avait abandonné cet élément clef de sa réforme territoriale. Le résultat de cette reculade est que cette réforme présentée malgré tout comme de portée structurelle – son objectif était de rendre moins opaque, moins coûteux et moins lourd l’ensemble constitué par les quatre niveaux de collectivités locales propres à notre pays, n’a, dans la pratique, fait que renforcer les dysfonctionnements constatés dans le passé – chevauchements de compétences, financements croisés, etc.
Pour qui a lu superficiellement mon billet sur le « tourisme » et l’action des pouvoirs publics (collectivités locales) et des organisations professionnelles le concernant, je rappelle et insiste sur le fait que son « message », abrupt, certes, est le suivant : « ce secteur économique n’est plus (n’est pas) une activité saisonnière sur trois semaines de la saison estivale ; semaines sur lesquelles doivent se concentrer de lourdes campagnes de promotion et d’animation (style Barques en Scènes, Festival Trenet, par exemple, sur Narbonne ; ou d’autres de même philosophie, si j’ose dire, sur les stations du littoral). »
Le soleil tape sur le granit de la Madrague. Ce muret n’est pas une clôture, c’est un barrage. Il sépare l’eau du jardin, le bruit de la mer, le siècle des touristes du silence des […]
Le sapin est bleu, le givre est froid. Mais au sommet, dans les ailes d’un papillon, brille une étoile rouge. Elle est l’étincelle de la bienveillance. C’est elle qui réchauffe l’image et […]
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]