Quelle semaine pour le PS narbonnais ! Si ses troupes (désormais rares et idéologiquement perdues depuis son implosion politique récente : le spectacle donné au plan national en est le triste reflet) et son électorat s’éparpillent un peu partout dans la nature, ses élus locaux (ils sont encore nombreux), à l’inverse, sont déjà entrés en compétition pour les prochaines échéances électorales (larvée, mais vive : c’est un euphémisme !)
Narbonne n’échappe pas à sa réputation. Un coup de pelle mécanique sur tout ou partie de son territoire et son passé romain est mis au jour. Le plus extra-ordinaire est le lieu (et l’importance) de cette récente découverte : un terrain mitoyen à l’emprise du MuRena, le musée régional de la Narbonne antique.
Comme pour chaque génération de contrats de plan Etat-Région (CPER), de lourds retards dans l’engagement et l’exécution des crédits sont inévitablement constatés. Celui couvrant la période 2015-2020 ne manque pas à la règle. Alors qu’ils devaient démarrer en 2014, ils n’ont été finalement signés qu’à l’été 2015 (plus d’un an de retard !). De plus, une révision a été opérée en 2016 pour ajuster les contrats aux nouveaux périmètres des grandes régions fusionnées. Aussi est-il prévu, comme à chaque génération ou presque de CPER, une clause dite de « revoyure ». Elle devrait se discuter dans ce mois de janvier 2018.
Il est maire et vice-président d’une communauté d’agglomération (le Grand Narbonne). Socialiste hollandien de la stricte observance, il pleure au quotidien son héros déchu et promet tous les jours son nécessaire retour. Sans savoir avec qui, ni comment, d’ailleurs ! Mais depuis l’assassinat politique de François par ses propres « amis » de parti, ignorant ces derniers, il ne cesse de tempêter sur les réseaux sociaux contre… Emmanuel Macron (et le député d’en Marche élu contre la candidate du PS, grâce à de nombreuses voix de gauche pourtant).
J’apprends qu’ à partir du 7 janvier, le metteur en scène Leo Muscato présentera au Teatro Maggio à Florence, une version politiquement-correcte du célèbre opéra de Bizet dont il a réécrit le final.
Le soleil tape sur le granit de la Madrague. Ce muret n’est pas une clôture, c’est un barrage. Il sépare l’eau du jardin, le bruit de la mer, le siècle des touristes du silence des […]
Le sapin est bleu, le givre est froid. Mais au sommet, dans les ailes d’un papillon, brille une étoile rouge. Elle est l’étincelle de la bienveillance. C’est elle qui réchauffe l’image et […]
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]