Nouveau Narbonne, dans un communiqué d’un laconisme inhabituel, vient de vider son sac en prenant la maindeJacques Bascou dans… un sac de nœuds, et de poubelles !
Amusante la réaction enthousiaste des responsables et militants socialistes locaux à l’annonce de la création d’une prison dans la Narbonnaise. Une initiative qui , en d’autre temps pas très lointains, aurait été en effet condamnée au motif de sa nature « exclusivement répressive, d’enfermement… » etc… etc… ; et de son orientation si manifestement contraire à des principes politiques et philosophiques qu’incarnaient encore récemment madame Taubira : prévention, « emprisonnement » hors les murs etc… etc…
Je n’avaisjamais entendu parler du préfet de l’Aude jusqu’à ce jour récent où il s’est cru obligé d’apporter une mise au point (ici) –politique et improvisée – sur la gestion du dossier du Pont de Carcassonne afin de dédouaner – confusément – l’absence dans les discussions préalables à son bouclage, du Grand Narbonne et de son Président Jacques Bascou.
« L’union sacrée » pour la promotion du RCNM à des limites que la passion politique entend bien respecter. Du côté des politiques, en effet, on ne joue pas toujours groupé. C’est du moins l’image donnée vendredi dernier – Narbonne recevait Albi – par la composition de la loge d’honneur du Parc des Sports et de l’Amitié.
Si je n’avais rien écrit sur la rentrée politique de Didier Mouly, on aurait pu, à raison, penser que son interview donnée au Midi Libre du 7 septembre m’était indifférente. À la vérité, ayant toutefois fait l’effort de la lire, je dois confesser que ce genre de prose, outre qu’elle ne m’a rien appris que je ne sache déjà des projets de notre maire et des débats politiques du petit « mundillo » local, finit toujours par me faire regretter les quelques secondes consacrées à sa lecture.