Ping-Pong juridico-politique entre La Ville et l’Agglo. Lors d’une première manche, l’opposition à Didier Mouly avait obtenu le réexamen du Débat d’Orientation Budgétaire de la Ville (D.O.B) au motif, justifié, que n’y figuraient pas des éléments financiers pourtant imposés par la loi . Depuis, le groupe de Didier Mouly à l’Agglo, vient de renvoyer la balle dans les pieds de Jacques Bascou, au motif, fondé, que le D.O.B du Grand Narbonne, n’avait pas fait l’objet d’un vote, contrairement à la loi lui aussi, et demande en conséquence l’annulation de son budget primitif, ce qui n’est toutefois pas une condition suffisante !
J’ai reçu hier matin une touchante carte de voeux de Didier Mouly dans laquelle, après m’avoir chaleureusement et fautivement rappelé que « nos actions en tant qu’élus », comme les miennes, « en tant que citoyens » – fautivement car lui seul s’adresse à ma personne –étaient « guidées par le coeur », m’adresse en pièce jointe un courrierdans lequel il me fait part, tout aussi affectueusement,de son « indignation » après que j’eus«sans doute constaté une forte hausse de mon imposition locale 2016 dans laquelle la Ville de Narbonne n’a pas le moindre degré de responsabilité».
Les représentants de « L’Association des Amis du Parc des Sports et de l’Amitié » ont été reçus par Didier Mouly, hier. Entendus ils le furent, mais pour s’entendre dire que la salle multimodale à 20 millions d’euros d’investissements – sans compter les investissements périphériques nécessaires – et 2 millions de frais de fonctionnement annuel, se ferait bien dans l’enceinte du Parc.
Didier le Pieux ne touche pas encore les écrouelles. Il reçoit à confesse. Deux fois par mois,il « prête ses oreilles » à ses paroissiens. C’est le Midi Libre qui, sur une pleine page de louange, nous l’apprend. Un emploi ou un logement lui sont toujours demandés.