Ping-Pong juridico-politique entre La Ville et l’Agglo. Lors d’une première manche, l’opposition à Didier Mouly avait obtenu le réexamen du Débat d’Orientation Budgétaire de la Ville (D.O.B) au motif, justifié, que n’y figuraient pas des éléments financiers pourtant imposés par la loi . Depuis, le groupe de Didier Mouly à l’Agglo, vient de renvoyer la balle dans les pieds de Jacques Bascou, au motif, fondé, que le D.O.B du Grand Narbonne, n’avait pas fait l’objet d’un vote, contrairement à la loi lui aussi, et demande en conséquence l’annulation de son budget primitif, ce qui n’est toutefois pas une condition suffisante !
J’ai reçu hier matin une touchante carte de voeux de Didier Mouly dans laquelle, après m’avoir chaleureusement et fautivement rappelé que « nos actions en tant qu’élus », comme les miennes, « en tant que citoyens » – fautivement car lui seul s’adresse à ma personne –étaient « guidées par le coeur », m’adresse en pièce jointe un courrierdans lequel il me fait part, tout aussi affectueusement,de son « indignation » après que j’eus«sans doute constaté une forte hausse de mon imposition locale 2016 dans laquelle la Ville de Narbonne n’a pas le moindre degré de responsabilité».
Les représentants de « L’Association des Amis du Parc des Sports et de l’Amitié » ont été reçus par Didier Mouly, hier. Entendus ils le furent, mais pour s’entendre dire que la salle multimodale à 20 millions d’euros d’investissements – sans compter les investissements périphériques nécessaires – et 2 millions de frais de fonctionnement annuel, se ferait bien dans l’enceinte du Parc.
Didier le Pieux ne touche pas encore les écrouelles. Il reçoit à confesse. Deux fois par mois,il « prête ses oreilles » à ses paroissiens. C’est le Midi Libre qui, sur une pleine page de louange, nous l’apprend. Un emploi ou un logement lui sont toujours demandés.
Déjeuner à l’Auberge des Jacobins. Nous y avons nos habitudes. Vanessa est à l’accueil. André est en cuisine. Ils sont jeunes. Ils sont sympathiques. La cuisine est simple. Les prix sont […]
Hier matin, boulevard Gambetta. M… Avec lui, c’est comme ouvrir une radio. Toujours la même musique : ce qui casse, ce qui brûle, ce qui rate. Le reste, ce qui fonctionne, ce qui tient encore debout, […]
Il était assis là, droit comme il pouvait encore l’être. Une doudoune, un souffle un peu court, les gestes comptés. Sur ses genoux, un petit chien. Léger. Silencieux. Les yeux tournés vers la porte, […]
Je croyais que la culture était un bien commun. Une respiration. Je découvre qu’elle est surtout un territoire. À défendre. À verrouiller. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]