Une des conséquences de la loi du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République (NOTRe) dans notre département est, notamment, l’obligation de fusion des communautés de communes du Pays de Couiza, de Piémont d’Alaric et des Corbières. Celles-ci vont donc devoir fusionner ou modifier leur périmètre. En revanche la communauté de communes de la Montagne Noire, qui a une population supérieure à 5 000 habitants, n’est pas soumise à cette obligation car s’y applique l’exception prévue par la loi. Le Schéma départemental de coopération intercommunale établit par le Préfet, prévoit ainsi, pour ce qui nous concerne le plus directement, le rattachement de douze communes de la Communauté des Corbières à la la Communauté d’Agglomération du Grand Narbonne.
Fin de la séquence conciliation entre ATBC et la SNN! Le président de la SNN Robert Dejean, est venu sans partition devant monsieur Raguin, le conciliateur de justice. La musique est finie, de son point de vue, et l’association À Tout Bout De Chant doit ranger ses instruments le 23 mars 2016, date anniversaire de la signature de la convention la liant à la SNN !
Photo article en lien signé Laurent Dubois 30/09/2015
Avant-hier, 30 septembre, avait lieu une dernière réunion autour de Nicolas Sarkozy avant celle de la Commission Nationale d’Investiture, qui devrait valider les investitures départementales aux régionales. Reste, d’ici mercredi prochain, à désigner encore celles du département des P.O et de l’Aude. (cf l’article de Laurent Dubois) Alors que la partie semblait gagnée pour le maire de Leucate Michel Py, tout lui reste donc encore à faire, d’ici mercredi prochain.
Au mois de juin dernier, j’annonçais la naissance d’un groupe divers droite et non-inscrits au Grand Narbonne, avec à sa têteHenri Martin (?!) Un groupe qui résulterait de la fusion, après sa dissolution, de celui de Michel Py, le maire « Les Républicains » de Leucate, auquel s’adjoindraient les proches du maire de Port-la-Nouvelle, comme Gérard Kerfyser, le maire d’Armissan, et madame Viviane Durand, la mairesse de Sainte Valière, trois poids lourds de la gouvernance Bascou, notamment. Soit au total, si je compte bien, pour ce nouveau groupe, une douzaine d’élus communautaires, environ. Dans ce même billet, j’analysais les raisons et les conséquences politiques de cette initiative politique prise par celui qui, classé à droite, a pourtant permis, en compagnie de Gérard Kerfyser notamment, l’élection de Jacques Bascou à la présidence du Grand Narbonne, et ce malgré sa défaite aux municipales dernières sur Narbonne, la ville centre. Je ne vais donc pas revenir, au risque de me répéter et de lasser, sur ces différents points, que mes lecteurs peuvent retrouver exposés dans le billet figurant en lien, ci-dessous. C’est sur une de ses conséquences dans l’organisation du prochain conseil communautaire que je voudrais aujourd’hui appeler l’attention.
Qui ne se souvient des réunions et exigences formulées par Didier Mouly auprès de Rocky Elsom le « patron » d’un RCNM alors en difficultés. La presse convoquée pour en faire des « échos » les rapportait dans un contexte psychologique et humain où, comme toujours, des intérêts locaux et personnels n’ayant pas grand chose à voir avec ceux, sportifs, du club, se croisaient avec ceux, politiques, du maire de Narbonne. Il était notamment question d’imposer à Rocky Elstom l’ouverture du capital de son entreprise à des « narbonnais », afin de leur donner une minorité de blocage. Comme si, dans le monde d’aujourd’hui, un élu pouvait, même dans ce domaine où les collectivités locales mettent des moyens importants aux services de clubs sportifs, intervenir dans la gestion d’une entreprise privée pour y imposer son « schéma d’entreprise ».
Picasso Pablo (dit), Ruiz Picasso Pablo (1881-1973). Paris, musée national Picasso – Paris. MP72. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]