Dans rugbyrama.fr, daté du 3 février, Didier Mouly précise sa pensée et ce qu’il attend des propriétaires australiens du RCNM: « Je ne m’intéresse pas à l’aspect sportif, je veux simplement que les Narbonnais soient plus impliqués. J’ai demandé à Rocky Elsom d’ouvrir la capital du club à hauteur de 30% pour les partenaires et à hauteur de 5% pour les Socios ». Autrement dit, si je comprends bien, peu importe le classement en bas du tableau du RCNM, il faut que Monsieur Elsom vende 35% de son capital pour se placer sous le contrôle d’une minorité de blocage « narbonnaise », et ce, de surcroît, sous huit jours. Un « entrisme », doublé d’une injonction, dans la gestion d’une société privée, au demeurant parfaitement saine au plan financier, qui va sans doute faire date dans l’histoire des relations entre une collectivité publique et une société anonyme sportive professionnelle. Mais qui semble tout de même pondéré, comme au Conseil d’État, par une « mineure » ainsi énoncée : « j’attends surtout que les propriétaires, les membres du Conseil de surveillance et de l’Association puissent se rencontrer ». Ce qui me semble beaucoup mieux raisonné et beaucoup plus raisonnable.
Ça coince, et ça grince et ça geint dans la maison Nouveau Narbonne. Oh! rien de très alarmant pour l’heure, la charpente tient encore, même si le doute semble s’installer sur la qualité et la solidité de ses éléments. Monsieur Julès, à sa manière, vient en tout cas d’en faire état en se désolidarisant de Didier Mouly sur le vote de sa délibération en faveur d’une « Mêlée Ouverte », une association dont l’objet social, il est vrai, est des plus confus. il s’est abstenu, en effet, en faisant valoir un mélange des genres que j’avais moi même signalé, ici même, dans ce blog. La réaction de Didier Mouly, qui ne semble pas goûter la plus petite marque d’indépendance de jugement dans son groupe, ne s’est pas faite attendre. Elle fut, le lendemain, dans le Midi Libre, cinglante: Monsieur Julès n’est désormais plus dans sa majorité. Et ce au motif aggravant que, sur sa radio Grand Sud FM, et en ma compagnie (Radio Barques: le samedi matin à 9 heures 10 et le dimanche matin à 11 heures 10), mes Contre-Regards radiophoniques seraient trop, pour ne pas dire exclusivement, critiques à son égard et envers ses actions.
Les maires de Béziers, Robert Ménard et de Narbonne, Didier Mouly sont réunis ce matin à Narbonne pour officialiser leur coopération qui pourrait s’engager, si j’en crois les propos qui m’ont été rapportés, dans les domaines de la culture, du sport et principalement de l’économie.
Dans cette émission de Radio Barques du 6 décembre, il est question d’un astronaute descendu en terres narbonnaises, de Daniel Herrero coatchant les commerçants de la Ville, de l’apolitisme de Nouveau Narbonne et de velléités de Didier Mouly et de Bertrand Malquier, et de la crèche de Robert Ménard …
C’est donc le sympathique maire de Ventenac, et sa partenaire, dont je confesse ignorer le nom, que les militants (es) du PS ont choisis pour partir au combat sur le canton Sud Minervois. Une primaire dont monsieur Lapalut, se serait bien passé. Chaque année, c’est le petit gibier, la caille, et non le militant de base, qu’il part, avec ses amis, chasser en Espagne. C’est dire sa frustration et son ressentiment surtout envers le président de la fédération audoise des chasseurs, son voisin, le maire de Sallèles, Yves Bastié, qui fut socialiste lui aussi, à l’origine de ce contre-temps cynégétique. Et qui, de surcroît , portait la gibecière de son concurrent, le maire de Moussan, le propre frère aîné de Didier Codorniou…Tout ce petit monde se retrouvant dans la même et courte, pour l’heure – elle s’élargira lors du vote du prochain budget – majorité de Jacques Bascou, le président PS du Grand Narbonne.
Picasso Pablo (dit), Ruiz Picasso Pablo (1881-1973). Paris, musée national Picasso – Paris. MP72. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]