Pour le politologue Bruno Tertrais, nos interventions militaires ne sont pas la cause du terrorisme; et la situation au Mali, en Libye et en Syrie aurait été pire si nous n’étions pas intervenus.
Depuis le vendredi noir du 13 novembre, une petite musique se fait entendre : nous serions en partie responsables, car ce sont nos interventions militaires qui suscitent, au Moyen-Orient, réactions violentes et in fine actes de terrorisme. Est-ce vrai ?
La France a été frappée à de multiples reprises par le terrorisme moyen-oriental sans intervention dans les pays concernés : actes d’origine palestinienne dans les années 1970, iranienne dans les années 1980, algérienne dans les années 1990… Les djihadistes n’ont pas attendu le 11-Septembre : souvenons-nous du projet déjoué d’attentat contre le marché de Noël à Strasbourg en décembre 2000. Dans l’autre sens, l’équation est tout aussi erronée. A-t-on vu les Irakiens détester l’Europe après la guerre du Golfe ? Les Serbes nous poursuivre de leur vindicte après le Kosovo ? Les attentats se multiplier à cause de notre intervention en Libye ?
Iana Aleksandrovna Azhdanova, militante ukrainienne, a surgi seins nus, portant l’inscription « God is Woman » (Dieu est une femme) sur la poitrine, dans la crèche installée place Saint-Pierre où elle avait tenté de s’emparer de la statue de Jésus avant d’être interpellée. Cette action était menée dans le cadre de la campagne des Femen intitulée «Massacre des innocents», qui entend protester contre ce que le mouvement décrit comme le «besoin maniaque » des religions de «contrôler la fertilité des femmes».
« Je suis Alan Henning, à cause de la décision de notre Parlement d’attaquer l’État islamique, en tant que Britannique, je vais payer le prix de cette décision. » Dans une vidéo diffusée vendredi 3 octobre, les djihadistes du groupe djihadiste État Islamique du Levant (EIL) ont revendiqué l’assassinat de l’otage britannique Alan Henning, capturé en décembre 2013 alors qu’il accompagnait un convoi qui acheminait de l’aide médicale dans un hôpital du nord-ouest de la Syrie.
Je 13.3.2025 Ne cherchez pas un numéro de téléphone pour réserver une table chez Rose Marie. Elle n’en a pas ! Pas de carte, non plus. On vient la voir, la salue, lui demande une table avec deux […]
Me 12.3.2025 Il me fait un petit signe de tête. Nous faisons quelques pas sur le même trottoir, l’un vers l’autre. Sa démarche est incertaine. Il lance ses jambes en avant et ses bras sur le côté […]
Di 9.3.2025 Au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne. Langage(s) Sur scène, les quatre musiciens du Quatuor Parisii et la comédienne Emmanuelle Devos. Une table de lecture pour […]
Sa 1.3.2025 « Presque rien. Comme une piqûre d’insecte qui vous semble d’abord très légère. Du moins c’est ce que vous vous dites à voix basse pour vous rassurer. […]