Toute une page, la 7, dans le Midi Libre de ce dimanche, dans la rubrique « Municipales », avec ce titre en gros et gras : « Ce que pensent les candidats des projets de l’usine Orano-Malvési ». Et le rédacteur de cet article de nous rendre compte de la manifestation d’hier – où était présente toute la galaxie anti-nucléaire de la région, masquée ou pas – et des réponses apportées par les candidats aux municipales aux deux questions posées par le Président de l’Association « Transparence des canaux de la narbonnaise ».
Petite suite à mon billet d’hier sur le petit « mundillo » politique narbonnais. Peu d’observateurs l’ont relevé, mais, parmi les soutiens de madame Granier-Calvet, figurent les rares mais influentes personnalités de la minuscule galaxie « radicale de gauche » : Didier Codorniou, Édouard Rocher, Jacques Bossis (le mari de Catherine Bossis, la vice-présidente Ps du conseil général) etc…. Celui de Jacques Bossis étant le plus manifeste, parce que public…
C’est le 14 mars prochain, en première instance et au Tribunal Administratif (T.A) de Montpellier, que va se jouer l’avenir de l’Arena de Narbonne. En bloc, puisque seront examinés le référe-suspensif – qui devrait être vite expédié – , suivi de conclusions sur le fond du marché conception-réalisation – et sa validation ou pas.
Le « terrain » s’éclaircit, si on peut dire, entre le Domaine des Lebrettes et la commune de Marcorignan ; cette zone où était prévues la création d’une prison et d’une « aire de grand passage ».
La première, même toute virtuelle, est cependant toujours imaginée par les « autorités » sur la seule commune de Lézignan, qui dispose de terrains en grand nombre jouxtant l’autoroute et parfaitement adaptés à ce genre d’équipement (Je me demande d’ailleurs pourquoi cette option lézignanaise n’a jamais été envisagée quand, en pleine campagne des législatives dernières, la députée sortante faisait la promotion de cette prison. Mais bon, passons !).
Quant à l’aire de grand passage, la voilà, elle aussi, rangée aux « dossiers à revoir » en des temps incertains ; et en d’autres lieux que celui initialement pressenti sur la commune de Narbonne.
Son maire, Didier Mouly, a décidé en effet de ne pas modifier son Plan Local d’Urbanisme (PLU), modification qui était la condition préalable et nécessaire pour permettre au Grand Narbonne de réaliser – c’est la Communauté d’Agglomération qui seule en a la compétence – cette « aire » programmée sur le « papier » pour le mois de juin, juste avant la saison des grandes migrations des « gens du voyage ».
Ce qui met en difficultés Jacques Bascou, le président du Grand Narbonne, d’autant que les maires du voisinage, pourtant membres de sa majorité, ainsi que le député Alain Perea, son ancien vice-président, n’en veulent pas non plus !
Les « dindons de la farce » de Marcorignan peuvent donc à présent glouglouter. Cette zone devrait conserver pour un certain temps encore sa vocation viti-vinicole : un projet important de cave coopérative sur un terrain de 10 hectares appartenant à la Ville de Narbonne, est, en effet, actuellement à l’étude… À suivre !
Cette semaine, jeudi 25 janvier, Alain Perea démissionné d’office de son mandat de Vice-Président du Grand Narbonne depuis la validation de son élection à l’Assemblée Nationale par le Conseil Constitutionnel, Jacques Bascou, son président (du Grand Narbonne) anciennement socialiste, soumet au vote de son conseil communautaire un projet de délibération afin de procéder à l’élection de son remplaçant au sein de l’exécutif de l’Agglo.
Eric Piolle, maire Vert de Grenoble, prétendant à l’investiture EELV pour la présidentielle de 2022, mais qui réclame avec Benoit Hamon une union de la gauche […]
Hier soir, assis, non ! plutôt affalé dans mon fauteuil, les jambes molles, les yeux brouillés et le cerveau vide, je fixais, dans un état quasi hypnotique, les aiguilles d’une […]
Le maire de Gruissan, et président du PNR, notamment, a donc autorisé, après un avis positif du commissaire enquêteur, et a contrario de ceux, nombreux et argumentés, […]
Pages d’auteur : « On pourrait dire : accepter le travail, l’effort. Préférer le proche, où le mal est inséparable du bien, aux lointains où règne une clarté pure, […]