Nous ne connaîtrons donc pas le jugement (au fond) du Tribunal Administratif de Montpellier sur la légalité du marché conception-réalisation de la salle multimodale avant 2019 (dans le courant du premier semestre, nous dit-on). Une décision d’autant plus surprenante que le même Tribunal avait rejeté sa suspension au motif qu’il délibérerait sur le fond avant le commencement des travaux tels qu’il étaient alors programmés.
Centres-ville de Narbonne-Marcorignan (vue aérienne). Entrée de ville centre et lotissement…
j’ai récemment consacré un billet « aux dindons de la farce Marcorignan » – un collectif qui s’oppose aux projets de construction d’une prison et d’une aire de grand passage à l’entrée de leur village – en soulevant une question qui va bien au-delà de celles posées par les intéressés (je signale au passage qu’une chaîne humaine est prévue le 4 mars, à 16 heures, aux portes de Marcorignan). Ces projets, je les conteste aussi, en effet ; et ce pour des raisons de fond qui tiennent à la politique d’aménagement menée dans cet espace sensible de la narbonnaise. [1]
Madame Carole Delga, la présidente de la Région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée, vient d’effectuer, à Narbonne, une visite du chantier (qui a pris du retard) du futur musée régional de la Narbonnaise antique[1].
À Narbonne, comme dans une trentaine de villes moyennes (dont Béziers, Carcassonne, Perpignan etc.), plus d’un quart des jeunes ne sont pas insérés (contre 14% au plan national) et les taux de chômage (22%) et de pauvreté (24,5%) y sont très élevés. La part des retraités représentent plus du tiers de la population et les cadres et professions intellectuelles supérieures à peine 5,3%. S’ajoutent à ce constat sociologique des difficultés propres à son centre ville (pertes d’habitants, habitat dégradé, commerces fermés…) C’est dire que le plan de revitalisation des centres de villes petites et moyennes lancé par le Ministre de la Cohésion des territoires à Rodez, le 15 décembre, était attendu (du moins on l’espère !)
Sigean est une commune à une vingtaine de kilomètres au sud de Narbonne. Vers 1970, employée dans l’immobilier, Marie Lacaze habite une maison au bord de l’étang à l’écart du centre de Sigean, avec sa fille Julie. Noël, l’époux de Marie, est décédé cinq ans plus tôt ; leur aîné Simon est mort à l’âge de douze ans. Marie reste en contact avec Germaine Marty, la sœur de son mari, qui élève seule sa fille Gilberte, étudiante dans le social. Elle laisse une grande liberté à Julie, âgée de dix ans, qui aime flâner aux abords de l’étang. Le jeudi est encore le jour de repos des écoliers.
Me 12.3.2025 Il me fait un petit signe de tête. Nous faisons quelques pas sur le même trottoir, l’un vers l’autre. Sa démarche est incertaine. Il lance ses jambes en avant et ses bras sur le côté […]
Di 9.3.2025 Au Théâtre + Cinéma – scène nationale Grand Narbonne. Langage(s) Sur scène, les quatre musiciens du Quatuor Parisii et la comédienne Emmanuelle Devos. Une table de lecture pour […]
Sa 1.3.2025 « Presque rien. Comme une piqûre d’insecte qui vous semble d’abord très légère. Du moins c’est ce que vous vous dites à voix basse pour vous rassurer. […]