Archive pour février, 2020

Narbonne ! Municipales2020 : Échos de campagne, suite…

Narbonne. Hôtel de ville.
   

Surpris et agacé par la place accordée par, et dans, l’Indépendant à cet olibrius venu de nulle part dont je tairai le nom, et qui, dans les pages de ce journal, décline benoîtement un programme municipal et des projets absurdes. Une faculté de médecine, un Rungis à ciel ouvert, 10 000 emplois, 5000 étudiant…

Quelques notes prises au fil des jours (du 21 au 27 février 2020)…

L’étang de Gruissan, un dimanche de février 2020.

   

Le 27 de ce mois. Il écrit sur sa page Facebook : « départ pour les Seychelles », et reçoit des brouettées de « J’aime ». Sitôt arrivé, il nous montre ses photos, qui suscitent une flopée de commentaires et des nuages de « coeurs rouges ».

Narbonne ! Municipales 2020 : Quelques remarques sur la polémique entre Bertrand Malquier et Nicolas Sainte Cluque

 
Narbonne. Hôtel de ville.
 

Bertrand Malquier accuse Nicolas Sainte Cluque de plagiat, le second prétendant le contraire. Le sujet de la polémique étant « l’aménagement des berges de la Robine » selon l’Indépendant du jour. Je vais donc mettre les deux candidats d’accord, sur un point seulement : la date et l’origine de ce projet en débat, en reprenant ce que j’écrivais dans mon blog le 20 novembre 2019, sous le titre : « Narbonne ! Municipales2020 : À mon tour d’entrer en campagne ! ». Voici :

Narbonne ! Municipales 2020 : Transferts politiques croisés et brouillages idéologiques…

 
Narbonne. Hôtel de ville.
 

Nous n’aurons jamais vu autant de « transferts » politiques croisés que dans cette dernière « campagne » des municipales. Impossible ici d’en dresser la liste complète : il me faudrait quadrupler le format habituel de ces textes. Je n’en présenterai donc que quelques uns, particulièrement représentatifs, pour en montrer l’importance.

Quelques notes prises au fil des jours…

   

Ai noté ceci :

Le 4 février : Toujours du grand Jules Renard, dans son journal : «Il y a des gens qui, toute leur vie, se contentent de dire : « Évidemment ! Parfaitement ! C’est horrible, admirable, extravagant, bien curieux. » Par eux-mêmes ils n’ont aucune valeur, mais ils sont d’un grand secours à autrui : ils lui servent de verbes auxiliaires.»