Le bal masqué des municipales à Narbonne est ouvert…

   

     

La ronde des prétendants au trône municipal a commencé, samedi dernier sur Radio Barques. Nicolas Sainte Cluque, le conseiller général socialiste et premier opposant de Didier Mouly en son conseil municipal, adoubé par l’association créée par Jacques Bascou, et attendant de l’être par la section socialiste locale, en a profité – il était dans son rôle !– pour dire tout le mal qu’il pensait du maire – à terme sortant, mais décidé à le rester, maire. Samedi viendra le tour d’Alain Perea, le député de LREM, qui ne dit rien de ses intentions, tout en laissant dire et en disant tout de son intérêt pour la ville…

Quand donc ceux « d’en haut » feront-ils leur révolution culturelle ?

 

     

« Une sociologie paresseuse incrimine la crise économique, les inégalités, les fractures sociales » pour expliquer la montée et l’installation au pouvoir de partis « populistes » un peu partout dans le monde ; et en Europe…

Pas de marché de Noël pour Muriel, la marchande occitane !?

 

       

Je ne connais pas Muriel ! Je ne l’ai jamais rencontrée et ne sais si nous avons des amis communs ou pas ; encore moins si nous entretenons de proches ou lointaines relations  avec certains d’entre eux. Il va sans dire que son nom de famille m’est tout aussi inconnu.

Doit-on dire à leur enfant : « votre père est une femme » ?

       

À l’origine, il y a Bernard et Marie. Ils forment un couple et ont deux enfants. Puis Bernard, tout en conservant les attributs et la « puissance d’agir » d’un mâle, donc d’un homme, devient Claire. Le couple reste toutefois uni et entreprend de « faire » un troisième enfant.

L’instinct meurtrier du chasseur primitif couve sous la toile…

Quand je quitte ma page sur les réseaux sociaux pour me mêler à celle d’amis, ou pas, inconnus, je suis effrayé par la violence et la haine des propos et commentaires qui s’y répandent, souvent sous couvert de pseudonymes. Une preuve, parmi d’autres, que l’instinct meurtrier du chasseur primitif couve toujours sous le mince vernis de la morale commune.

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