Il y a des jours, comme aujourd’hui, où le hasard vous fait « tomber » sur l’expression la plus basse de la flagornerie militante, au point de douter jusqu’à l’équilibre moral et intellectuel de ceux qui complaisamment la diffusent, l’approuvent et la « likent », sur les réseaux sociaux, notamment.
Cette histoire de prénoms, qui témoigneraient de la volonté de ceux qui les donnent de s’intégrer, ou pas, – leurs enfants avec – , à la communauté nationale : son histoire, sa culture, sa langue … , a provoqué un vacarme médiatique d’une intensité telle que la moindre remarque aux propos indignés – surjoués – des deux protagonistes à l’origine de cette controverse ne peut hélas se faire entendre.
Rentrée de Jacques Bascou, après celle de Didier Mouly, dans le même journal, où il confirme paradoxalement sa sortie tout en expliquant que ce n’était pas lui qui avait quitté le Ps, mais son parti et ses dirigeants qui l’avaient amené à s’éloigner de la politique. Sans commentaires !
Plus on se rapproche des élections municipales, plus la réflexion collective, au sein du conseil communautaire de l’Agglo, comme chez les élus de la Ville de Narbonne, semble progresser. Jeudi soir, par exemple, Bertrand Malquier, le premier adjoint de Didier Mouly, a lancé un appel en faveur de » l’intelligence collective » en exprimant le souhait de mutualiser la gestion du Parc des Expos – de compétence Grand Narbonne – et de la future salle multimodale – voulue, financée et gérée directement ou indirectement par la Ville.
Les touristes sont venus plus nombreux encore que l’année dernière dans le coeur de ma petite ville ; et nos élus de vanter l’excellence de leur politique d’animation et le bénéfice économique en résultant. Je pourrais discuter de cela, doutant des deux, mais mon humeur m’incite aujourd’hui à voir les choses autrement.