Il ne cessait de répéter : « Cristi, quelle campagne. Si nous ne réussissons pas après ça ?»

Bel-Ami ! Robert Pattinson. Film de Declan Donnellan, Nick Ormerod, 2012 : Journal.


Depuis Bel-Ami de Maupassant, rien n’a vraiment changé. Je consulte mes notes sur ma liseuse (Kindle) et tombe sur ceci, à l’emplacement 3435 :

« L’article parut sous la signature de Georges Du Roy de Cantel, et fit grand bruit. On s’en émut à la Chambre. Le père Walter en félicita l’auteur et le chargea de la rédaction politique de La Vie Française. Les échos revinrent à Boisrenard. Alors commença, dans le journal, une campagne habile et violente contre le ministère qui dirigeait les affaires.

Sportfolio, sans cap ni capitaine, tombe à l’eau…

   
 

Je viens de lire l’article consacré à feu « Sportfolio » dans l’Indépendant d’hier (ici : au format PDF). Des raisons expliquant ce fiasco, je retiens surtout la forte inimitié existant entre les deux membres co-fondateurs de la première édition, chacun défendant concurremment un projet différent, dans un contexte organisationnel, juridique et financier – c’est l’interprétation que j’en fais –  semble-t-il, instable – pour ne pas dire plus !

L’extension du domaine de la bêtise !


Dans « La bêtise s’améliore », sorti en 2007, Belinda Cannone fait dialoguer trois personnages autour de l’amour, la politique, l’économie, l’art, la morale, le désir, le bonheur… Trois personnages qui s’étonnent de ceux, nombreux, dont nous respectons l’intelligence et qui s’en servent bêtement. Comment comprendre en effet que des esprits sophistiqués, et en apparence libre, en viennent à patauger dans les idées toutes faites ?

Marcher donne de l’air à la pensée ; la blesse aussi parfois…

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Marcher donne de l’air à la pensée. Peu importe où ! J’entends cependant dans des régions au climat tempéré comme la mienne. Et quand je n’y suis pas forcé. Évidemment! Tous les jours donc, je marche. À pas rapides! Que ce soit le long d’un canal, d’une plage, autour d’un étang ou tout bonnement dans ma ville.

Au carnaval de Narbonne, on ne brûle ni roi ni salle multimodale, hélas !

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Demain dimanche, « Carnaval » ! Oh pas celui venu du fond des âges où le « désordre social », la critique politique, l’inversion des hiérarchies de pouvoir étaient le moyen, à la fin de l’hiver, de « purger » les tensions d’une communauté pour en retrouver, les beaux jours revenant, les normes sociales établies. Pratiques païennes reprises en partie par l’Église romaine, à l’entrée du cycle des 40 jours de Carême comme le montre l’exemple des Fallas de Valence. Un formidable mélange de rituels religieux et profanes, dans lequel sont honorés des saints et brûlés, dans tous les quartiers de le ville, les « idoles » et emblèmes de notre temps : stars du cinéma, hommes politiques, dollar etc…

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