Chaque fin de semaine, je passe en revue les blogs de mes « amis » – rares ! Chacun dans sa « spécialité » m’offre , sans le savoir, de quoi satisfaire ma curiosité intellectuelle. Musique, arts plastiques, philosophie, économie, politique, littérature, ils couvrent un spectre très large dans lequel je puise abondamment connaissances ou sujets de réflexion, notamment. De petits « riens »aussi, pleins de saveurs. Comme ce portrait d’Emmanuel Macron, du 30 août 2015, fait par Fabrice Luchini,que relève Jean-Pierre Rousseau dans ce livre « mi-journal de bord, mi-reprise de textes pour certains cent fois entendus sur les auteurs de prédilection du comédien. »
Dimanche, il faisait chaud sous le chapiteau du traditionnel Salon du Livre. Sous l’égide du Grand Narbonne, il accueillait, comme lors des éditions précédentes, un public attentif à l’actualité littéraire. Tous les genres étaient représentés par de talentueux auteurs. Et comme l’an dernier, ce fut un beau succès. Ce même jour, le Comité des Oeuvres Sociales de la Mairie de Narbonne, lui, avait organisé, au Parc des Sports et de l’Amitié, en plein air, « son vide grenier ».
Château de Peyrepertuse (Aude) -Escapades en Pays Narbonnais.
Les maires des huit châteaux et forteresses de l’Aude et de l’Ariège (Montségur) ont célébré à Villegly leur inscription par le ministre de la Culture sur la « liste indicative française » à soumettre au « patrimoine mondial de l’Unesco ». Passons vite sur le hasard de calendrier de cette opportune décision ministérielle prise à quelques jours seulement de la fin de ce quinquennat – Monsieur Viola ne saurait s’en plaindre ! Ne nous attardons pas trop non plus sur la quarantaine de dossiers ayant déjà reçu ce genre de missive ministérielle, et toujours en attente de ce prestigieux label.
C’est dès le 20 mars 1871, à la nouvelle de l’insurrection parisienne – le 18 mars 1871 –, que le club de la Révolution tente d’engager Narbonne dans le mouvement et demande au conseil municipal, majoritairement constitué de républicains modérés, de ne plus reconnaître le gouvernement de Versailles et d’armer immédiatement la Garde nationale. Mais le conseil municipal refuse de se réunir. Finalement, le 24 mars, le commandant de la Garde nationale est autorisé à distribuer une certaine quantité de fusils à ses hommes. Rapidement, le bruit court que des armes sortent de l’Hôtel de ville. La distribution dégénère.
La Pavillon de la Nautique n’aura finalement pas été coulé par l’équipage aux commandes de la S.N.N, conduit par Robert Dejean. C’était pourtant l’objectif visé, on s’en souvient peut-être encore, par ces extrémistes de la plaisance, qui voulaient « Rendre La Nautique aux Nautiquards ». Un mot d’ordre qui n’est d’ailleurs pas s’en rappeler celui d’une « blonde », dont je tairai le nom…
Ma.27.3.2024 Dimanche au cinéma (Théâtre+Cinéma Scène nationale Grand Narbonne) « Laissez-moi » de Maxime Rappaz, avec Jeanne Balibar, Thomas Sarbacher, Pierre-Antoine Dubay. Un train au cœur de la […]
Di.25.3.2024 « Les hirondelles buvaient déjà au lavoir et happaient les éphémères, quand ma « compagnie » s’en alla. L’air avait son goût usagé d’après-midi, et la chaleur était grande sous le soleil […]