La gravité universelle a une odeur de monoï.

Lu 14.07.2025
Une odeur de monoï.
Sur la plage, seul. Ou presque. Une brise légère, la mer calme, le silence presque parfait. Je savoure.

Lu 14.07.2025
Une odeur de monoï.
Sur la plage, seul. Ou presque. Une brise légère, la mer calme, le silence presque parfait. Je savoure.

Ve 11.7.2026
Il y avait la mer, au loin. Et la chaleur d’un soir d’été à Narbonne-Plage.
Quelques jours plus tôt, un incendie dramatique avait léché les portes de la ville. Plus de 2 000 hectares partis en fumée. De la garrigue en cendres, des pins calcinés, un vent de panique. Des vies brisées. Et puis le retour au calme.

Lu 7.7.2025
Il y a des livres qui ne cherchent pas à convaincre. Ils ne s’imposent pas. Ils s’offrent. Avec cette voix calme de ceux qui savent que tout ce qui compte ne se crie pas.

Ma 1.07.2025
Florence Delay est morte. Je l’avais lue il y a longtemps.
Le livre s’appelait Riche et légère. C’était un beau titre. On ne savait pas ce qu’il voulait dire, mais on comprenait en le lisant. Il y avait une femme, ou peut-être personne. Des villes. Des phrases courtes. Du silence. C’était un livre lent, qui avançait comme on marche seul, sans but, dans un pays qu’on aime.

Ma 1.07.2025
Florence Delay est morte. Je l’avais lue il y a longtemps.
Le livre s’appelait Riche et légère. C’était un beau titre. On ne savait pas ce qu’il voulait dire, mais on comprenait en le lisant. Il y avait une femme, ou peut-être personne. Des villes. Des phrases courtes. Du silence. C’était un livre lent, qui avançait comme on marche seul, sans but, dans un pays qu’on aime.