Rentrée de Jacques Bascou, après celle de Didier Mouly, dans le même journal, où il confirme paradoxalement sa sortie tout en expliquant que ce n’était pas lui qui avait quitté le Ps, mais son parti et ses dirigeants qui l’avaient amené à s’éloigner de la politique. Sans commentaires !
Les touristes sont venus plus nombreux encore que l’année dernière dans le coeur de ma petite ville ; et nos élus de vanter l’excellence de leur politique d’animation et le bénéfice économique en résultant. Je pourrais discuter de cela, doutant des deux, mais mon humeur m’incite aujourd’hui à voir les choses autrement.
À l’exception de ceux de coiffure, ma petite ville n’est pas une ville de salons. Preuve en est son Parc des Expositions toujours vide – il ne fait le plein que pour la foire du printemps (et encore !) Un constat humiliant pour un « carrefour de l’Europe ». Aussi, fallait-il prendre des risques pour relancer ces activités de services. Depuis hier, c’est fait ! Narbonne accueille dans son emblématique Palais du Travail (!) un ambitieux « salon des Seniors ». Y participent, outre la Ville, le Département, avec son « Clic » (?) , et Le Grand Narbonne, avec ses Pompes Funèbres : son « Clac ! » Un bal musette clôturera cette manifestation, nous dit-on ! On entre, on sort ! Clic, clac ! ricane la camarde …
J’apprends que les « croque-morts » publics ont tenu leur messe annuelle au Théâtre Scène Nationale. Ne pouvait-on pas trouver équipement plus adapté à cette honorable corporation, pour y débattre d’obsèques, d’enterrements et de crémations ?
Ces socialistes sont décidément impayables. Dimanche, par la voix d’Éric Andrieu, député européen et ancien premier secrétaire de la fédération de l’Aude, en présence du secrétaire de la section de Narbonne, la procédure de désignation de leur candidat pour conduire leur liste aux prochaines élections municipales était clairement exposée devant la presse : primaires internes ; ainsi que leur stratégie : alliance avec les partis « amis » (je note au passage qu’Éric Andrieu n’a pas intégré l’idée qu’il n’y avait plus de « partis amis » : les anciens souhaitant sa « peau » ; que le PRG n’existait plus et que ses élus locaux étaient plutôt des Marcheurs décomplexés).
Je 7.11.2024 Galley au café. C’est une habitude. Devant mon premier café, je lis une ou deux pages d’un Journal littéraire. J’ai donc ouvert ce matin celui de Matthieu Galey. Pourquoi ? Parce que je […]
Me 6.11.2024 Le rêve de Jean Luc. Devant son miroir, tout en se rasant, Jean Luc dicte à son microphone, après avoir pris connaissance de la victoire de Trump, les premiers mots de son commentaire […]