Fascinant documentaire sur la « 3 », hier soir¹ ! A près de 90 ans, l’ancien président de la République Valéry Giscard d’Estaing répondait aux questions de Patrice Duhamel, qui l’avait suivi lors de ses campagnes présidentielles de 1974 et 1981. Voir cette silhouette et ce visage marqués par son âge avancé mis à distance par une intelligence d’une vivacité inouïe avait en effet quelque chose de prodigieux. Un incontestable charme émanait de ce « corps » qu’enveloppait une voix murmurant des confidences – et des analyses – d’une saine franchise, sur un parcours hors normes.
C’est avec un étonnement douloureux que j’ai appris le décès de Gérard Calvet, un peintre de mes amis , – et ce malgré notre grande différence d’âge. Son sourire et son regard malicieux vont me manquer ! Il était né en 1926 à Conilhac-Corbières dans l’Aude. Après des études secondaires au Lycée de Carcassonne, il est « monté » à Paris, en 1945, pour entrer à l’École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, dans l’atelier de Eugène Narbonne où il fut particulièrement impressionné par l’art vigoureux et incisif de Bernard Buffet.
Le croquis de la semaine de Denis Carrière : « Guy Sié, le maire de Fleury d’Aude, attend-t-il son César ?! »
Voir le billet en référence en cliquant sur (ici) !
Vous pouvez agrandir l’image en cliquant dessus. Tous les croquis et caricatures de Denis sont disponibles en cliquant sur Denis Carrière, en rouge, en haut et à gauche.
Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le partager ! Et n’hésitez pas non plus à lire aussi les autres articles proposés ci-dessous !
Je lis dans l’Indépendant de ce matin que la réunion extraordinaire, et publique, voulue par le maire de Narbonne, sur le projet de construction de l’unité de traitement des nitrates (TDN) d’Areva-Malvésy, le 6avril, à 18h30, dans la salle des Synodes du Palais des Archevêques, se tiendrait en présence des élus de la Ville de Narbonne, des représentants des associations RUBRESUS et ECCLA, et des responsables de l’entreprise Areva. J’avoue que, sur le coup, j’ai sursauté, tant la participation annoncée du directeur de cette usine à cette réunion me paraît hautement improbable.
Carole Delga, dans le feu du meeting de Benoît Hamon, à Montpellier, a prononcé ses paroles : « Ne comptez pas sur moi pour trahir le parti et casser la maison. Soyons fidèle au vote de la primaire et à l’expression du vote du peuple de gauche. » Manuel Valls, qu’elle soutenait pourtant lors des primaires, et à qui elle doit beaucoup, a dû apprécier à sa juste valeur cette petite trahison personnelle. Il est vrai que la majorité des socialistes de sa région est « hamoniste », et qu’à moins d’aller au casse-pipe elle pouvait difficilement faire l’impasse sur la dernière sortie de son ancien patron, – quand elle était secrétaire d’État dans son gouvernement.