Le rapport annuel de la Cour des Comptes 2018 vient d’être publié. Comme chaque année il est abondamment commenté. Le tourisme en Languedoc-Roussillon figure au sommaire de cette édition. La Cour des comptes, à plusieurs reprises, a relevé les insuffisances des politiques touristiques régionales et l’examen de la politique touristique conduite en Languedoc-Roussillon entre 2010 et 2016 corrobore ces constats. De cette analyse approfondie j’ai retenu les points suivants :
1 – Le contexte général.
Le Languedoc-Roussillon dispose d’atouts touristiques indéniables, fondés sur son climat, sa façade maritime, ses massifs montagneux, sa diversité paysagère, ses six sites inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco et ses parcs naturels.
En haut, à droite, Alain Vogel. En bas, à gauche, Patrick Vignal et Alain Perea. En bas, à droite, Didier Mouly, Patrick Vignal, Robert Ménard
Sourire ce matin en lisant (article annoncé en première page et en bandeau !) dans mon journal local (le seul !) que Jacques Bascou ne serait plus candidat à rien et qu’il se concentrait désormais exclusivement sur les deux prochaines années le séparant de la fin de son mandat de président du Grand Narbonne. Sourire amusé car les lecteurs de ce blog en sont informés depuis le 11 janvier (cliquer sur le billet : On ne tire pas que les Rois chez les socialistes narbonnais…) ; comme ils le sont aussi (dans ce même billet) des ambitions et des petites manoeuvres de ceux qui depuis se positionnent pour lui succéder (à la mairie et à l’Agglo).
Madame Carole Delga, la présidente de la Région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée, vient d’effectuer, à Narbonne, une visite du chantier (qui a pris du retard) du futur musée régional de la Narbonnaise antique[1].
Philippe Duron, le président du Conseil d’orientation des infrastructures (COI), a remis, ce jeudi matin, son rapport à la ministre des Transports sur les nombreux projets laissés en suspens par les différents gouvernements de droite et de gauche depuis plusieurs années, faute de financements.
Robert Bourgi est cet « avocat » en affaires douteuses auquel Nicolas Sarkozy a remis les insignes de Chevalier de la Légion d’Honneur. Il se présente aujourd’hui dans tous les médias (qui se l’arrachent : c’est un bon client ; gras, vulgaire et au profil de « porteur de valises », il balance et menace ses propres « amis » politiques) en « tueur » de Fillon.