Dans un récent billet, je montrais tout ce que la réforme territoriale devait à monsieur Baylet : maintien des départements et confusion juridique dans la répartition des compétences et les financements croisés entre collectivités. Ces derniers notamment, dont la limitation à certaines actions est en passe de se transformer en pratique courante, comme elle l’était avant le vote de la loi NOTRe.
Samedi, le ciel était bleu au dessus du joli petit cimetière de Bages. L’air était doux aussi. Comme chaque année, nous avons déposé un vase de fleurs blanches au pied du caveau dans lequel repose Bernadette.
Les « beautés » de la communication institutionnelle ne me laisseront décidémentjamais insensible tant son dédain de la « langue » y confirme celui de la vérité. Ainsi le dernier « placard » publicitaire du Grand Narbonne sur lequel on peut lire qu’une intention de faire (des grands projets) construisait un territoire (une surface de terre qui présente une certaine unité).
Je passe en revue le flux de l’actualité politique française sur mes comptes Facebook et Twitter, et mes favoris de la presse nationale et régionale. Autant l’avouer tout de suite : je ne m’arrête sur aucun des « posts », articles et analyses qui y sont consacrés. Je zappe aussi les «grandes émissions politiques» , à la télé ou à la radio. Inutile de préciser que je n’ai pas lu et ne lirai pas non plus les 1000 pages du programme de Bruno Le Maire ou les « livres » de Fillon, Juppé et Sarkozy, comme ceux à venir des autres candidats de gauche, de droiteou du centre, présentant leur « projet pour la France ».
Mélenchon l’avait anticipé, Montebourg et tous les frondeurs du Ps ont choisi l’option des primaires plutôt qu’un rassemblement de rupture avec la personne et la stratégie de François Hollande. Mieux, et c’est parfaitement logique, vaincus ils se rassembleront derrière le vainqueur de cette primaire – c’est ce que vient d’annoncer l’ancien ministre de l’Industrie – même dans le cas où il s’agirait du Président sortant.
Ma.27.3.2024 Dimanche au cinéma (Théâtre+Cinéma Scène nationale Grand Narbonne) « Laissez-moi » de Maxime Rappaz, avec Jeanne Balibar, Thomas Sarbacher, Pierre-Antoine Dubay. Un train au cœur de la […]
Di.25.3.2024 « Les hirondelles buvaient déjà au lavoir et happaient les éphémères, quand ma « compagnie » s’en alla. L’air avait son goût usagé d’après-midi, et la chaleur était grande sous le soleil […]