Chronique de Narbonne. RCNM: Dimanche! un beau moment de sagesse et de sincérité populaire…

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Ce matin, entre 11h30 et midi, assis à la terrasse du Petit Moka, j’ai assisté à une déferlante de drapeaux orange et noir sur la place de l’hôtel de ville. Un dimanche, à l’heure de l’apéro!  Du jamais vu. Une concurrence déloyale pour des responsables locaux de la CGT, au bord de la syncope. Un évènement à faire tomber dans le doute métaphysique les squelettiques cercles de « nuitsdeboutistes », depuis la dernière lune à jamais disparus.

Chronique de Narbonne, et de LRMP. De l’eau, des canards et de la politique!

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Pluies diluviennes, rivières en crues, inondations sur une bonne partie de la France, c’est sous ces auspices nationales que s’est ouverte, sous un ciel parfaitement bleu, ce matin, la première fête de l’eau de Narbonne. Avec des risques d’orages dans l’après midi, cependant. De grêle même, prévoit Météo France.

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs: RCNM, relégation, et « monde professionnel »…

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Dans l’Indépendant, toujours bien informé, « hier », le trou financier du RCNM était de 700 000€ et la relégation quasi certifiée, aujourd’hui, il n’avoisinerait, selon ses sources, que 300 000€, et la descente en Fédérale moins assurée. Pour ne pas dire improbable – la relégation! Ce qui est plus sérieux. Un « proche du dossier », auquel se réfère le rédacteur de cet article, n’affirme -t-il pas en effet que : « Certains clubs affichent en fin de saison des pertes bien plus importantes mais ces clubs ont à leur tête des présidents capables d’apporter des garanties et de rassurer le DNACG« .

Chronique de Narbonne, et d’ailleurs. Dans ce monde, le silence est une ressource rare…

Le Petit Moka bar restaurant at Town hall square. Narbonne. Pedestrian shopping street in old city central Narbonne. South of France. The ancient town...

Le Petit Moka. Narbonne.


Dans les rayons de supermarchés, sur nos écrans de télé, nos ondes, nos journaux, nos ordinateurs, nos tablettes, nos boîtes de courriel, nos verres de bière, nos tasses de café – comme celle dans laquelle me fut servi un « expresso » à la terrasse du si bien-nommé Petit Moka, hier, à Narbonne – nos paysages, urbains et ruraux, nos routes, nos cartes de crédit, nos boîtes aux lettres, nos vêtements… , partout et toujours la publicité s’immisce, s’impose, s’incruste, s’enracine…