Etat d’urgence : l’article 1 voté par une Assemblée aux trois quarts vide , hier soir (1). Et les réseaux sociaux de s’enflammer. Moins pour, me semble-t-il, cet absentéisme massif, et habituel, pour ce genre d’exercice, que par l’importance symbolique, aux yeux de l’opinion, en tout cas, que représente cet article du projet de loi de révision constitutionnelle. Comme celui relatif à la déchéance de la nationalité, voté lui aussi hier soir. Je connais les arguments avancés par les parlementaires et leurs collaborateurs pour expliquer cet état de fait.
Le sympathique maire de Montredon: Éric Mellet, dans le civil pompier professionnel et au Grand Narbonne en charge des pompes funèbres – une fusion de compétences, si je puis dire, horizontale – vient d’occire ses opposants. Par leur démission, ils pensaient retourner aux urnes et envoyer le Mellet et sa troupe dans la fosse aux trépassés.
Clémentine Autain est toujours à l’avant-garde des personnalités politiques qui pensent bien et juste. Ses idées pour résoudre le problème de l’emploi en France tient en une seule équation. Nécessairement simple et belle, comme l’affirmait Einstein pour la physique:
Le plus surprenant est qu’elle n’aille pas jusqu’au bout de son développement. Avec 120 milliards supplémentaires prélevés sur les classes moyennes supérieures ( les riches!) et 8 millions d’emplois publics crées, la courbe, pourtant, subitement s’affaisserait et le plein emploi serait enfin réalisé. Cerise sur le gâteau, le souhait de madame Taubira de passer de 35 heures à 32 heures hebdomadaires pourrait même être inscrit dans la loi sur la durée légale du travail. Et Daesch serait, de surcroît, vaincu:
Et après les murmures Taubiriens aux oreilles de la jeunesse voici les coups de gueule de Montebourg dans celles de Hollande. Annoncés dans un livre à paraître jeudi, où il y dénonce le Sarkohollandisme; et le PS, qui deviendrait libéral et conservateur. Comme les Républicains il appliquerait la même politique économique et fiscale; et les classes moyennes en seraient les principales victimes. Matraquées de tous côtés, elles seraient, par taxes et impôts sans cesse augmentés.
Peut-on ouvrir son commerce 7 jours sur 7 ? Non, selon la justice civile. Quatre boulangers des Landes, poursuivis devant le tribunal de police de Dax pour avoir vendu du pain tous les jours de la semaine, en infraction avec la règlementation en vigueur, avaient été condamnés à 500 euros d’amende avec sursis. Mais oui, selon le tribunal administratif de Pau, qui vient de déclarer illégal l’arrêté de la préfecture des Landes interdisant aux boulangers de ce département de travailler tous les jours de la semaine, au motif que l’arrêté n’avait pas été signé par l’ensemble des organismes vendant du pain dans le département. L’affaire avait éclaté début 2015 au moment où les débats à propos de la loi Macron se concentraient sur le travail dominical et avait rapidement pris une tournure politique.
Lu ce matin dans « L’Opinion », un papier très juste d’Antoine Oberdorff. Ce qu’il décrit n’est pas une colère.C’est une convergence. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime […]
Premier dimanche de Hanouka.Sydney. Une plage.Plus d’un millier de Juifs réunis pour allumer la première bougie.La lumière. Les chants. Les enfants. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime […]
Sur mon fil d’actus Facebook. Lu ce matin cette révélation : nous vivrions dans un « patriarcat acoustique ». Rien que ça. Quinze ans de retard, mais toujours la même ardeur pour débusquer le […]
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