Chronique de Narbonne. Que faire du Palais des Arts des Sports et du Travail?

  Palais des Arts, des Sports et du Travail


Dans ma petite ville, il est un grand et volumineux bâtiment public: le Palais des Arts des Sports et du Travail, dont personne ne semble se soucier, alors que, depuis de nombreuses années, son état ne cesse de se dégrader au point, aujourd’hui, d’être entouré de hautes barrières de sécurité afin d’éviter que des plaques entières de « béton-armé » ne tombent sur la tête de curieux, de touristes, de promeneurs ou d’amateurs de l’architecture dite « moderniste ». Des barrières qui rajoutent à l’état de désolation de cet ensemble architectural, comme s’il ne suffisait pas que les marches d’accès à son « jardin » soient défoncées et ses façades, par « plaques », réduites à leurs squelettes de « ferrailles » rouillées. Dernière touche finale pour enlaidir l’ensemble, une structure mobile au design improbable vient, sur son abord immédiat, d’y être installée, pour, m’a-t-on dit, servir de salon de réception lors de manifestations sportives, notamment.

La guerre contre l’islamisme radical est aussi une guerre des mots.

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Ne nous voilons plus la face! La guerre contre l’islamisme radical est aussi une guerre des mots. Et le combat que nous devons mener est un combat sur plusieurs fronts à la fois. Un combat contre l’islamo-fascisme, car il est nécessaire de clairement désigner « l’ennemi » commun à tous les français dans cette guerre déclarée à la République. Un islamo-fascisme, qui est une idéologie politique, une religion séculière, j’insiste, et non la religion des musulmans. Ses centres de commandement et opérationnels sont en pays « musulmans », qui tue et barbarise les musulmans d’abord, en masse, pour y imposer des structures de pouvoir totalitaires et attentatoires aux droits de l’homme les plus élémentaires. Une barbarie qui puise et recrute aussi dans une jeunesse française, principalement issue de l’immigration, déclassée tant au plan social, moral que politique, pour mener sa guerre contre  « l’Occident » démocratique et ses valeurs. Mais nous devons aussi être de la plus grande fermeté, sur cet autre front de l’islamophobie  à caractère raciste qui, dans les circonstances dramatiques présentes, n’hésite plus à montrer son visage haineux.

L’Épiphanie, et les rois mages, c’est aujourd’hui 6 janvier…

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Ce soir, nous fêterons, L’Épiphanie et partagerons la galette des Rois.  Elle a lieu effectivement le 6 janvier, mais dans les pays, comme le notre, où l’Épiphanie n’est pas un jour férié, elle peut se fêter également le premier dimanche qui suit le 1er janvier. Ce jour-là est traditionnellement partagé  un gâteau contenant une fève qui rend «roi» quiconque la trouve dans sa part de galette. Par sa forme ronde et sa couleur dorée, la galette symbolise le soleil. À l’origine, en effet, L’Épiphanie fait partie du cycle de Noël et tire son fond et son sens des célébrations païennes de la Lumière. Noël, avant d’être un jour, est d’abord un cycle qui atteint son apogée au jour marquant le solstice d’hiver, le 22 décembre.

Il faut supprimer la réserve parlementaire, enfin !

     
   
 

Pour la première fois, l’Assemblée rendait publique et mettait en ligne, le 29 janvier 2014, l’intégralité de l’utilisation de sa réserve pour 2013 –  81,6 millions d’euros de subventions, exposées sur 246 pages A4 et 10 939 lignes de tableaux – conformément aux vœux de son président, Claude Bartolone (PS). Il faut s’en réjouir et le mettre au crédit de cette majorité. Depuis, chaque début d’année, on a droit, dans la presse nationale et locale, au rituel de sa publication. Cela dit, je persiste à penser que ce dispositif devrait être tout bonnement supprimé. Et ce pour deux raisons au moins. Commençons par la plus évidente : le coût exorbitant de sa distribution.

Je veux que chaque matin soit pour moi une année nouvelle.

nouvel-an__myrrpr « Chaque matin, à me réveiller encore sous la voûte céleste, je sens que c’est pour moi la nouvelle année. C’est pourquoi je hais ces nouvel an à échéance fixe qui font de la vie et de l’esprit humain une entreprise commerciale avec ses entrées et sorties en bonne et due forme, son bilan et son budget pour l’exercice à venir. Ils font perdre le sens de la continuité de la vie et de l’esprit. On finit par croire sérieusement que d’une année à l’autre existe une solution de continuité et que commence une nouvelle histoire, on fait des résolutions et l’on regrette ses erreurs etc. etc.