Toute une page, la 7, dans le Midi Libre de ce dimanche, dans la rubrique « Municipales », avec ce titre en gros et gras : « Ce que pensent les candidats des projets de l’usine Orano-Malvési ». Et le rédacteur de cet article de nous rendre compte de la manifestation d’hier – où était présente toute la galaxie anti-nucléaire de la région, masquée ou pas – et des réponses apportées par les candidats aux municipales aux deux questions posées par le Président de l’Association « Transparence des canaux de la narbonnaise ».
Le 27 de ce mois. Il écrit sur sa page Facebook : « départ pour les Seychelles », et reçoit des brouettées de « J’aime ». Sitôt arrivé, il nous montre ses photos, qui suscitent une flopée de commentaires et des nuages de « coeurs rouges ».
Ça suffit, vraiment ça suffit ! J’entends, sortant de la bouche de prétendants au trône municipal que Narbonne serait « en faillite », « en ruine » ou « en train de mourir ».
En Europe et en France en particulier, on aime bien se raconter des histoires. Il faudrait ne plus prendre l’avion, manger moins de viande, rouler à bicyclette, en trottinette ; boycotter les GAFA, les grandes surfaces…
La Une de l’Indépendant de ce jour est consacrée à la visite, effectuée hier, du quartier en construction des Berges de la Robine par le président national de la Fédération Française du Bâtiment, Jacques Chanut. Une réunion de travail avec le maire de Narbonne Didier Mouly et le président de l’agglomération Jacques Bascou, l’avait précédé, apprend-t-on, dans la même édition de ce même journal. Elle lui aurait ainsi permis de prendre connaissance avec beaucoup d’intérêt — je n’en doute pas — de « la ville de demain qui se dessine à l’entrée Sud » de Narbonne.