Je ne reviendrai pas ici sur les conditions administratives et juridiques dans lesquelles madame Umbach quitte ses fonctions de DGS de la Ville de Narbonne, la presse locale et certains membres de l’opposition s’en sont fait largement l’écho. Je dois dire, au passage, que, comme souvent dans ce genre de circonstances, les passions les plus tristes : ressentiment, jalousies, règlements de comptes professionnels (ou, à travers sa personne, politiques) n’ont pas manqué ; ce qui, chez moi, entraîne presque immédiatement une première réaction, disons de bienveillante neutralité.
J’apprends que l’Agence de Développement Touristique de l’Aude veut repenser son « marketing » de la « destination Aude » (Passons sur ce langage de communicant puissamment détestable : il faut faire avec, hélas, pour se faire comprendre – ce dont toutefois je doute .) Il serait temps, en effet ! Je n’ai jamais saisi, notamment, les raisons qui ont amené les décideurs de ce Département à choisir la « marque Pays Cathare » * comme bannière d’un territoire qui ne possède aucun site patrimonial clairement identifié à ce mouvement religieux ; alors que l’Aude possède, a contrario, avec la Cité de Carcassonne et l’ensemble monumental de Narbonne (entre autres monuments historiques), les sites médiévaux les plus visités de l’ex-Région Languedoc-Roussillon (sans parler du canal du midi). Cela dit, le Département n’est pas seul en cause dans l’affichage (pour rester dans la com !) d’un tel contresens historique (et touristique).
Le croquis de la semaine de Denis Carrière : « Quand les architectes bâtisseurs s’inspirent de la Nature »
Vous pouvez agrandir l’image en cliquant dessus. Tous les croquis et caricatures de Denis sont disponibles en cliquant sur Denis Carrière, en rouge, en haut et à gauche.
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Bien ! disons les choses simplement : le tribunal administratif de Montpellier considère qu’il n’y a pas lieu de suspendre la décision d’attribution du marché de la salle multimodale au motif que, selon la commune de Narbonne et la société Fayat, les travaux ne commenceront pas avant 8 mois et, qu’en conséquence, elle pourra être jugée sur le fond dans le courant du mois de mai, en 2018, par le même tribunal. De sorte que l’assurance est ainsi donnée aux parties contestant ce projet que tout travaux engagés par la société Fayat avant le jugement sur le fond du marché qui lui a été attribué seraient constitutifs d’un défaut d’information manifeste susceptible de sanction judiciaire. Ce qui, avec cette garantie apportée par le juge administratif, s’apparente, de fait, à une suspension de travaux avant jugement sur le fond. Aussi, les opposants (de tous horizons politiques) à ce projet, pourront aisément défendre l’idée que leur défaite formelle, paradoxalement, masque le principal considérant d’une ordonnance (13 novembre 2017) qui, en pratique, leur donne, pour l’heure, satisfaction sur le fond (la suspension des travaux). Mach nul !
Le soleil tape sur le granit de la Madrague. Ce muret n’est pas une clôture, c’est un barrage. Il sépare l’eau du jardin, le bruit de la mer, le siècle des touristes du silence des […]
Le sapin est bleu, le givre est froid. Mais au sommet, dans les ailes d’un papillon, brille une étoile rouge. Elle est l’étincelle de la bienveillance. C’est elle qui réchauffe l’image et […]
Samedi. Ou peut-être jeudi. Je terminais mon tour de ville. À hauteur du café « Le Duplex », je pensais à Pierre. Partager :ImprimerE-mailTweetThreadsJ’aime ça :J’aime chargement… […]
Hier midi, au début des Barques. Là où la ville se raconte qu’elle est un décor. Ils étaient trois. Un couple de cols verts et leur petit. Neuf et maladroit. […]
Ce matin, aux Halles. Chez Laurent Chamayou. À l’heure où l’on se retrouve. Des amis qui aiment l’Espagne. Qui aiment Jerez, le flamenco et ses bodegas. Séville, son élégance et sa féria. Sanlúcar […]